❥ luduwaënn flynn

ft. phoebe tonkin

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luduwaënn (se prononçant luduène), 23 ans, 17 avril 1988, australienne, maquée avec son égo, hétérosexuelle, edge of glory. Petite, Luduwaënn était d'une maigreur à faire peur, on la disait anorexique. Plein de rumeurs courraient sur la future riche héritière en disant que son projet futur était d'être un top-modèle, et qu'elle se faisait vomir, ce qui était totalement faux. Petite Luduwaënn était dépressive, mais les années passant, elle prit en forme, et fut de moins en moins longiligne, gagnait de l'assurance, aussi moralement que physiquement. Trop d'assurance même. Sinon, la jeune femme aime les T-shirts trop grands pour elle quand elle poireaute chez elle. Autrement, elle s'affiche un style à la « Kate Moss » le jour. Entre sa gueule d'ange, sa voix rauque, son sourire à faire fondre la banquise, son regard provocateur furieusement sexy, Luduwaënn a un côté plutôt « masculine » qui fait un peu « garçonne de banlieue » qui lui est propre et qui correspond parfaitement au caractère de la jeune fille. Une fille qui stresse pour un rien mais une je m'en foutiste de première, une fille qui est très féministe mais qui parle vulgairement juste pour faire genre, une fille qui traîne dans les rues alors qu'elle est bourrée aux as, une fille avocate qui se prostitue la nuit ... bref, cette fille aux milles facettes qui vous surprend toujours, le jour et la nuit réunis en une seule personne, j'ai nommé Luduwaënn. Dire que Luduwaënn et son supposé père s'entendrait bien serait un mensonge. Un très gros mensonge. En revanche, la relation qu'elle entretenait avec sa mère était une très grande complicité que rien ne pouvait briser. Du moins, c'est ce que Luduwaënn pensait.

..oh baby i love your way..

« Casse toi, putain tire toi d'là, bordel ! »

Mes yeux se baladèrent sur le corps de Jax, l'homme qui se trouvait face à moi. Celui que je croyais honnête, qui ne me lâcherai jamais. Naïf de ma part. Les hommes, tous des salopards. Oh enculé, celui qui était juste devant moi, putain qu'il était bon. Mais non, mes forces m'avaient lâchés, je ne pouvais pas lui sauter dessus. Surtout après ce qu'il m'a fait. Il avait parcouru vingt kilomètres pour me dire qui me plaquait, vingt kilomètres de trop. Il le regretterait, j'en ferais une affaire personnelle. Et ce connard restait face à moi, il bougeait pas. Il se tirait pas, comme je le lui avais dit quelques secondes plus tôt. Bordel de merde, qui sorte de ma vue c'lui là. Deux minutes de plus, et j'allais exploser. Tant pis, il ne voulait pas gicler, je vais l'aider. Je bouillonnais, je ne supportai plus sa gueule d'ange, non, pas la sienne. Un vase à ma gauche, un couteau de cuisine à ma droite. Qu'est-ce qu'il fallait mieux lui lancer dessus pour qu'il comprenne ? Mon choix était vite fait : je ne ménagerais rien, pas même sa vie. Pour faire une entrée en douceur, je lui envoyai d'abord le vase, qui se brisa en mille morceaux une fois la cible atteinte. Il saignait, il s'était coupé. Je jubilais, mais ce n'était malheureusement pas assez pour satisfaire mon esprit et ma mauvaise conscience. Mon regard noir a du le frapper comme une gifle où je ne sais trop quoi, car il fut troublé. 'Tain, c'est quand qu'il retournerait avec sa famille de cons ? Un gros carré de mousse derrière lui. Je fis quelques pas en avant. Lui recula. Ce manège dura jusqu'à ce qu'il est atteint le bloc de polystyrène, et je sentais une envie montante et pressante de mettre fin à ce tête à tête. A tout jamais. Seulement 12 ans et déjà des idées criminelles derrière la tête. Mais c'était impossible de mettre fin à ses jours, c'était au dessus de mes forces. Je le tenais par les épaules, ma tête à deux centimètres de la sienne. Le couteau dans la main droite. Mais j'y étais obligé ... Le poignard s'enfonçait peu à peu dans la matière blanche, mais le corps de Jax n'avait pas réincarné la saucisse entre les deux bouts de pains.

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J'aurais dû. J'aurais dû savoir que ce conflit en tête-à-tête avec Jax allait m'attirer de sérieux ennuis. Non seulement avec lui, mais aussi avec ce qu'on appelle les « parents ». Dans ce mot, je ne vois que l'inutilité de son existence. Toute ma vie, je l'ai passée seule, et je la passerais seule. Ils ne sont jamais là, et quand ils sont là, jamais pour moi. Alors qu'est-ce qui rythme ma vie ? Qui rythme va vie ? L'horloge, et une semaine avant, je t'aurais répondu Jax. Certes, je fous rien de mes journées, mais après le départ tant attendu de ce connard de Jax, je n'ai pas trouvé une seule seconde de libre pour le rangement et le nettoyage de ma saute d'humeur. En entendant le moteur de la Mercedes-Benz de mon putain de père, je savais que j'allais passer un mauvais quart d'heure. Pas loupé, les taches de sang, les éclats de verres et les quelques objets renversés suffisaient à mon père pour reprendre son activité devenue habituelle, pour lui, comme pour moi, mais aussi pour ma mère ; me frapper. Je n'entendais que son souffle lent qui me stressais encore plus, quand je sentis ces deux gros doigts pincer mon oreille. Il me traîna de la cuisine au salon à l'aide de mon organe auditif, où il me lâcha comme une merde contre la grande bibliothèque. Mes yeux suppliaient de ne pas commencer ce que je redoutais le plus, mais c'était peine perdue. Il défit la boucle de sa ceinture et la laissa glisser de son jean pour l'enrouler autour de sa main avec un sourire narquois. OMFG, que je n'aime pas ça. Alors qu'il brandissait l'accessoire longiligne, j'entendis un autre moteur dans la cour de la villa. Certainement ma mère qui elle aussi rentrait du taff. Seul quelques minutes passèrent sous les coups de mon père, quand ma mère pénétra dans le salon. Elle me voyait soumise, allongée sur le sol glacée, à serrer le cul et les dents en priant que ça s'arrête. Aucune réaction de sa part, elle s'assit simplement sur le sofa, et de ma position, j'aurais dit que son but était de profiter du spectacle. Silence de mort dans la grande habitation, seuls résonnaient les coups du cuir claquant contre ma peau blanche. Et ce pendant une heure et demie. Bordel, que le temps était long, que c'était douloureux. Moi la victime, mon père l'agresseur, ma mère la spectatrice. Impuissante. Putain, elle attendait quoi pour dire à mon père d'arrêter ? Je priais, quand enfin elle expliqua à mon père :

« Bon, allez, arrête, tu vas la tuer. »

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Personne, je ne connaissais personne qui avait une vie aussi merdique que la mienne. Fille d'un type bourré aux as, j'aurai du, normalement, voir la vie en rose. Mais non, mon putain de connard de merde de père ne le voyait pas comme ça, ne me cédait rien et m'éduquait avec une sorte d'éducation made in Flynn. A coups de bâtons. SOS enfant maltraité ? Je ne connais pas. Non franchement, famille d'accueil, voyage et tout et tout, pas mon truc. Je veux juste rester dans ma putain de vie à regarder le temps qui passe. Mais c'est une de ces journées où j'ai trouver quelque chose encore inconnu pour moi qui changea ma vie. Oui, un collier. Mais genre un collier artisanal, les trucs avec plein de perles et une sorte de plume au milieu. Et c'est juste en ouvrant un tiroir que je le découvris. Inutile de vous dire que cette nuit là, je n'ai pas fermé l’œil de la nuit. Contractions, spasmes, crampes et stress étaient au rendez-vous. Étrange, mais dès que mes paupières tombaient, un tas d'images se bousculaient dans ma tête. D'abord, un bébé abandonné, tout seul, en pleine nuit de pluie, sur le bord de la route. Ensuite, une femme démunie, les larmes aux yeux. Enfin, un homme trois pièces, des lunettes noires, sourire sadique. Étrange, très étrange ; le même sourire que mon père, j'en étais sûre. Mon lit, n'était plus un lit ; c'était une piscine, entre les larmes et la sueur. La nuit fut très longue, très très longue, mais elle m'aura permis de réfléchir. Même si je n'avais fait aucun rapprochement entre les trois flash-back, l'homme en costume était bien mon père. Le lendemain, au risque de mourir vraiment cette fois, je brandissais le collier trouvé la veille et l'agitait aux yeux de mon père, en plein de son petit déjeuner, en hurlant dans toute la villa.

« C'est quoi ca ? Hein, c'est quoi putain ? »

Je me souviendrais toujours de la surprise qu'il a eu et de la baffe qu'il ma donné. Règle première : parler correctement règle deuxième : se la fermer. Il me menaça juste de recommencer ce que je connaissais parfaitement, mais ne le fit pas, ce qui avait le don de troubler. Mon père sensible ? Ne me faites pas rigoler. J'étais juste coupable. Coupable de quelque chose, mais de quoi ?

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A 4 ans, j'ai déménagé à Miami, pour une raison que je ne connaissais pas, mon père n'avait jamais voulu me le dire. A 23 ans, je peux déjà affirmé que ma vie est ratée. Ce n'est qu'une prison interminable, je devais rester enfermée chaque jour. Mon père, ce salo ne me cédait rien ou presque ; j'avais seulement droit à suivre des cours de natation synchronisée, soi disant que je pourrais ramener de l'argent à son compte en banque si j'atteignais un bon niveau. Mais il pouvait s'le mettre où je l'pense ce foutu argent de merde. Arrivée au lycée, je me droguais, je fumais, je buvait, je baisais. Le monde la nuit était en ma possession, et je savais que chaque jour, je risquais ma vie. Mais elle n'a rien de simple, et je n'y comprendrais jamais rien. Pourquoi mon père ne me permettait de rien faire ? Pourquoi notre villa tait presque vide, alors qu'il avait les poches pleine de fric ? Il avait l'air d'en économiser. Pourquoi avais-je l'impression de connaître les trois personnes qui hantaient toutes mes nuits ? Mais voilà, jamais je ne le découvrirai, alors, des fois, je préfère penser qu'il y a des pourquoi qui sont veufs de parce que.

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BEHIND THE SCREEN

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boh, tu peux m'appeler bernadette, ginette, poulette, donne moi tous les prénoms qu'tu veux mais qui doit obligatoirement finir en "ette", parce que je le vaux bien. mais tu peux aussi m'appeler au numéro : 018795 racontetalife.com (je rigole qu'à moitié). so, mon âge ... tu peux m'donner deux ans, treize ans, vingt ans, cinquante ans, soixante-dix ans, cent ans ou cent-trente cinq ans, j'm'en fous, même si j'préfère la dernière option. mais vous devez connaître un élément capital : ma maaaamaaaaa stone est une de mes préférées, celle qui est aussi belle en rousse qu'en blonde, alors, que la personne qui a prit cette perfection s'attendent à être vénéré et harceler de tous les côtés



COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? je suis venue, j'ai vu, j'ai vaincu. en fouillant, en volant de partenariats en partenariats et de partenaires et partenaires, j'ai trouvé cette perle.
QUEL EST TON NIVEAU DE RP (environs) ? bôh, tu sais, ca peut varier, mais on va pas dire que je sois un as pour écrire des pavés (car déjà, moi même je n'aime pas me taper quatre pages word), mais on va dire dans les vingt-vingt cinq lignes et trente lignes, même si j'essaie de m'améliorer un peu plus.
AS-TU QUELQUE CHOSE A AJOUTER ? ce forum me plaît QUEL EST LE CODE DU REGLEMENT ? ok by le plus beau.
AS-TU ENVOYE TON SECRET AU MAIRE ? ? yep, comme une fille et membre modèle.

EXEMPLE DE RP.

METTRE LE RP ICI. blablabla blablablabla blablablabla blablablabla blablabla blablablabla blablablabla blablablabla blablabla blablablabla blablablabla blablablabla blablabla blablablabla blablablabla blablablabla blablabla blablablabla blablablabla blablablabla blablabla blablablabla blablablabla blablablabla blablabla blablablabla blablablabla blablablabla blablabla blablablabla blablablabla blablablabla blablabla blablablabla blablablabla blablablabla blablabla blablablabla blablablabla blablablabla blablabla blablablabla blablablabla blablablabla blablabla blablablabla blablablabla blablablabla blablabla blablablabla blablablabla blablablabla blablabla blablablabla blablablabla blablablabla blablabla blablablabla blablablabla blablablabla blablabla blablablabla blablablabla blablablabla blablabla blablablabla blablablabla blablablabla blablabla blablablabla blablablabla blablablabla blablabla blablablabla blablablabla blablablabla blablabla blablablabla blablablabla blablablabla blablabla blablablabla blablablabla blablablabla blablabla blablablabla blablablabla blablablabla