❥ Alexander Lucas Keaton

ft.David Gandy.

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Alexander, 39 ans, 18 Janvier 1972, Américaine, Célibataire, Hétéro, Born this way. Faites maintenant trois court paragraphe de 5lignes. -Je suis assez grand, j'ai toujours était un peu plus grand dans les classes, j'aurais pu faire du basket mais je n'aime pas le sport d'équipe. Je suis brun aux yeux bleux beaucoup me pense italien pourtant je n'ai aucune origine latine ni du coté de ma mère ni de mon père. On dit aussi que j'ai un regard ténébreux. Je suis plutôt mince, pas de kilos en trop et je suis plutôt musclé parce que je fais beaucoup de musculation. Je sais que je plais souvent aux femmes et j'en joue parfois .Un jean et une chemise font souvent l'affaire, je ne suis pas trop costard cravate ni short et tong disons que j'aime quand même être à l'aise dans ce que je porte pour les chaussures un bonne paire de converse. -Je vais mettre mon orgueil de côté et être sincère, pour une fois, non je suis souvent sincère c'est peut- être même une de mes meilleures qualités ou un défaut, mon entourage n'a pas toujours accepté ma sincérité douloureuse parfois mais bref la n'est pas le sujet. Je suis charmeur, oui je l'avoue et plaide coupable avec une petite pointe de provocation dans mes gestes ou paroles, je n'ai pas peur de prendre un râteau vulgairement parlant, qui ne risque rien n'a rien. Je respecte beaucoup les femmes pour m'amuser avec leurs sentiments et j'espère ne jamais devenir comme ça. Je suis quelqu'un de taquin, j'aime beaucoup rire mais, je sais aussi être sérieux et réconfortant pour les autres, je suis plutôt attentionné et à l'écoute du monde qui m'entoure. Les gens se livrent à moi assez facilement et je n'ai jamais su l'expliquer mais, je ne m'en plaint pas, j'aime ça, les gens me passionne je pense que c'est aussi un trait de caractère je suis curieux mais j'essaye de ne pas brusquer ni forcer même si dans ma profession parfois je suis obligé de faire un peu de forcing pour aider les gens au mieux mais, pas dans ma vie de tous les jours. Que dire d'autres ? Je suis peut être colérique et violent je n'hésite pas à utiliser mes poings contre celui qui ose faire du mal à mon entourage. Je pense être assez sociable dans l'ensemble, j'aime vraiment le contact avec les gens et je ne pourrais vivre sans. Je passe beaucoup de à mon travail, parce que je suis passionné par ce que je fais. Je suis comblé professionnellement et pour le social je suppose que ça viendra un peu plus tard. La patiente une autre de mes qualités. Je garde souvent tout pour moi, peu de gens me connaissent vraiment. - La petite routine de la vie, la maison, la voiture, et le chien, je ne roule pas sur l'or je ne suis pas non plus nez avec une cuillère en argent dans la bouche, j'ai eu assez d'argent avoir certaines choses mais je travaille dur pour ça. J'ai pas toujours était heureux enfin je ne le suis pas non plus en ce moment mais je vis avec ce que j'ai et je fais tout pour me battre. Ma mère et décédée il y a cinq ans mais avant ça j'ai eu une relation très forte avec elle, étant malade j'ai beaucoup pris soin d'elle. Avec mon père c'était plus compliqué, je ne l'ai pas revu depuis trente ans et je m'en contrefiche a vrai dire, il a abandonné ma mère dans le pire moment. Je suis fils unique et j'ai un enfant qui a vingt-trois ans mais que ne connais pas mon existence vu qu'il es né sous X. J'aimerais bien adopté des enfants dans un futur plus ou moins proches et de trouvé l'élue de mon coeur.

BEHIND THE SCREEN

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Donc moi je suis prince Alexander II de l'empire du sud-ouest de la France, je mange des pommes et je suis fan de vodka sinon je suis une pêche melba avec du chocolat d'une vingtaine d'année encore bien mûre. Mais, bon sinon moi et les personnes de ma tête on va très bien. Il ne vaut mieux pas me connaitre vraiment je vous assure.Sinon je suis mise petite fautes je l'assume et je me soigne.

COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? Par quelqu'un.
QUEL EST TON NIVEAU DE RP (environs) ? 20-30 lignes
AS-TU QUELQUE CHOSE A AJOUTER ? Non rien a ajouter.
QUEL EST LE CODE DU REGLEMENT ? Ok by Emrys ♥
AS-TU ENVOYE TON SECRET AU MAIRE ? ?Oui.

EXEMPLE DE RP.

« Bonjour vous écoutez la radio, il est cinq heures du matin, bonne journée a » Je donnais un violent coup dans mon radio réveil juste pour que ce maudit présentateur radio arrête, il avait une voix trop stridente chose qui me plaisais mais, alors pas du tout au réveil. Je me levais doucement pour mettre un CD dans ma chaine hifi, mon colocataire n'était pas la aujourd'hui je pouvais mettre le son un peu plus fort en faisant quand même attention a ne pas importuner mes voisins. Une chanson douce pour le réveil histoire d'être de bonne humeur pour une journée de travail, je n'avais pas forcement envie mais, il le fallait. Je prenais ma robe de chambre pour me diriger à la salle de bain.
Une petite douche, j'avais bien le temps, je n'aimais pas être en retard alors je me levais souvent assez tôt pour ne pas avoir a me dépêché j'avais vraiment horreur de ça. Une douche avec un effet plutôt relaxant, je pouvais je crois rester des heures sous l'eau chaude, pas brulante ni froide le juste milieux pour un vrai petit moment de bonheur. Personne pour interrompre ce petit moment de plaisir, juste moi dans ma salle de bain en face du miroir pour brosser mes cheveux, un peu de maquillage sur mes yeux, pas trop a l'hôpital ça ne servait a rien, un petit jean et un petit débardeur et une lingerie fine blanche.
Sept heures du matin, je prenais place dans ma voiture, je n'étais pas trop loin de l'hôpital, environ cinq minutes de route, dans les embouteillages de la ville même s'il était encore tôt pour ça. La route fut plutôt calme, je prenais mon temps et garder toujours une concentration maximum au volant. Une fois arrivée à l'hôpital je passée par les urgences pour voir un peu la salle d'attente, pas grand monde, je me dirigeais vers les vestiaires pour les infirmières et les internes. Une tunique blanche était ma tenue de service, un stéthoscope, mon badge, un ciseau et un style me voilà prête pour toute une journée. La matinée fût plutôt calme je travaillais avec Mathis aujourd'hui un interne en médecine un peu froid avec moi depuis le départ. Pour je ne sais quelle raison mais bon je m'en souciais guère, je faisais mon travail comme les autres... « Une ambulance arrive un ouvrier du bâtiment qui est tombé dans un conduit préparez les masques » On était la à l'entrée des urgences à attendre l'ambulance, nos petits masques prêt pour ne pas éternuez toutes les deux minutes. Je ne devrais même pas être là, un cas a risque pour moi mais, je ne disais rien.
L'ambulance arrive on prend en charge le blessé rapidement, je découpe ses vêtements en faisant attention a ne pas trop secouer la poussière et autres résidus, j'écoutais les ordres de mes supérieurs, je posais une voie centrale à la victime, il n'avait rien de grave, une fracture à la jambe, un léger traumatisme crânien et deux cotes cassées cela aurait pu être beaucoup plus grave. J'ai commencé légèrement a toussé a cause de toute la poussière, je me retournais alors vers Mathis. « Je vais prendre une autre tenue, je reviens ». Oui il fallait que je me change, une fois arrivée de nouveau aux vestiaires, j'enlevais mes vêtements assez brusquement ce qui ne fallait pas faire dans une situation comme celle la, deux minutes après j'avais l'impression d'avoir que de la poussière dans mon nez et dans ma gorge, j'étais en sous-vêtements incapable de remettre une tenue. J'avais mal aux poumons ma respiration était sifflante, je m'adossais au mur pour finir par glisser contre celui-ci et finir assise par terre. Ma ventoline était trop loin de moi et il n'y avait personne dans les vestiaires. Je n'arrêtais pas de tousser . La porte non loin de moi s'ouvrit, peut-être m'avais peut-être entendu, je l'espérais, il me fallait ma ventoline, je commencé à vraiment angoisser.

..oh baby i love your way..

« Il y a deux tragédies dans la vie: celui de ne pas réaliser ses rêves et celui de réaliser ces rêves.»

Il était une fois, une jolie et belle princesse prisonnière dans un donjon dans la plus haute chambre de la plus haute tour du monde, souffrant la tyrannie de son père, être cruel, démoniaque, sadique et terriblement égocentrique. Son royaume s'étendait sur des milliers de milliers de kilomètres carrés, jalonné d'immense chemin de terre servant de routes longues. Son armée était considérée comme la pire de toutes les armées des États-Unis, vêtue de rouge, signe de combat sanglants et meurtriers. Il n'y avait pas que son peuple qui souffrait de son emprise mais aussi la reine qui n'avait pas le droit de dire sa façon de penser, sous peine de sévices corporels et moraux. Ils n'avaient donc le choix que de bien se tenir face à cet homme, roi ayant oublié d'être un époux et un père. Mais un jour, un homme, un chevalier n'écoutant que son courage, follement épris de la triste princesse sentiment que la belle partageait depuis bien longtemps, alors que le roi était parti dans une contrée lointaine, décida d'enlever sa belle dulcinée. Il se saisit d'une échelle, d'une corde et avec grande peine parvint enfin à la dernière fenêtre de la chambre de la plus haute tour. Il prit dans ses bras la belle princesse et après un long très long baiser, descendit avec une grande dextérité de la tour pour finir par s'enfuir avec elle sur un magnifique cheval blanc vers une nouvelle contrée lointaine et paradisiaque, envoyant des chevaliers chercher sa mère. Ils se marièrent, eurent beaucoup d'enfants et vécurent heureux, jusqu'à la fin de leurs jours.

- Alexander, Alex réveille-toi !

Le réveil avait sonné à 6h00. Elle était assise là, devant la télé de l'hôtel, une inconnue pour moi, une de plus. Un rêve, un énième rêve de conte de fées . Moi ? Croire aux princesses ? Pas comme dans les livres bien sur mais juste une femme que j'aimerais profondément. C'est vrai je collectionnais les conquêtes depuis Lexie à la recherche de l’élue de mon cœur, celle que j’emmènerais loin de tout ça mais, un jour, elle serait là je le savais et, naïvement, j'y croyais encore et encore. Je dis au revoir à cet inconnue, je ne connaissais ni son prénom ni sa profession, se sachant même pas si elle était marié, et cela m'était égale, je ne voulais pas la connaître. Elle prit ses affaires, un dernier « Merci » et je pus reprendre ma petite vie normale, gardant cette croyance en moi. Débile non surtout pour un homme? Non, on a tous des rêves, des croyances qui sont aux yeux de certaines personnes complètement dénuées de sens mais, pour nous, elles ont de l'importance.

Plus sérieusement ma vie ?

Tout commence par une arrivée, la mienne dans un monde inconnu, pour certains c'est un monde facile pour d'autres c'est l'incompréhension. Certains recevront beaucoup d'amour, d'autres seront laissés de côté. Chaque moment de mon existence est une page écrite et ce qui est écrit est écrit et ne s'efface pas, même après un long chemin, un très long chemin parfois. Ma mère me disait souvent « Si parfois le désespoir t'envahit, si tu n'arrives pas à construire ta vie, si tu doutes et si ta famille ne ressemble pas à ce que tu avais imaginé ou rêvé, alors si tu as oublié ton histoire, ferme les yeux et souviens-toi ! » Je ne sais pas par où commencer et ou finir. Résumer une vie est difficile, je ne peux pas tout dire mais si je ferme les yeux ici et maintenant, je pourrais sûrement vous raconter quels ont été les points fort de ma petite existence. J’ai eu une enfance plutôt banal, j’étais fils unique et vivais avec maman en France jusqu'à mes 5 ans ou la nous sommes partit pour les États-Unis parce que mon père était américain d'origine. Maman est tombée malade et j'ai du m'occuper d'elle mais j'ai du partir pour Miami. J'ai fait mes études de médecine avec de bons résultats et obtint mon diplôme à 28 ans je me suis spécialisé en médecin d'urgence. Et si je devais vous racontez un moment de ma vie alors ce serais celui-ci.




" Il n'y a pas de désespoir plus absolu que celui qu'on rencontre lors des premiers instants de nos premières grandes peines. Quand on n'a pas encore connu ce que c'est de souffrir et guérir, d'être désespéré et de s'en remettre."


Je suis enceinte Alex.
Je la regarder dans les yeux surpris et paniqué a la fois, je me demandais si j'étais en train de faire un cauchemar.
Tu rigoles la ? On a 16 ans Lexie, on ne peut pas avoir d'enfant pas maintenant.
Elle me fixait elle aussi les larmes aux yeux, de mon côté je restais plutôt calme et silencieux pendant un instant.
Lexie on ne peut pas, on est trop jeune pour ça, il ne serait pas heureux avec nous ce bébé.
Je n'ai pas eu le temps de finir ma phrase.
C'est trop tard, je suis enceinte de 3 mois.
Je restais la sans voix, elle avait attendu autant de temps avant de me le dire 13 semaines en silence.
Mais Lexie ce n'est pas possible, je ne roule pas sur l'or et toi non plus, on a pas fini nos études, on est encorenous-mêmes des enfants, c'est quoi son avenir avec nous, finir à l'orphelinat a quatre ans parce qu'on a pas assez d'argent pour lui ?
Je sais Alex on fera les démarches pour l'adoption mais, on s'en voudra toute notre vie, je m'en voudrais toute ma vie, mon enfant.
Je serais la pour toi, tu es la femme de ma vie, quand on sera prêt plus tard on aura des enfants je te le promet, je suis triste moi aussi et je m'en veux mais, on a pas le choix. Il sera plus heureux dans une famille qui aura le moyen pour subvenir a ses besoins.
C'était tellement dur, j'étais peut-être trop dur dans mes phrases mais, il le fallait, on ne pouvait pas, être parent a seize ans sans argent, je devais déjà m'occuper de ma mère, je ne pouvais pas l'abandonner. J'étais tellement désolé, qu'est-ce qu'on avait à lui offrir a ce gosse ? On était que des gamins nous aussi. Six mois après un petit garçon vu le jour, je n'ai pas eu le droit de le voir, les services sociaux l'ont pris assez vite. Lexie était dans une chambre d'hôpital à la droite de son lit se trouvais une maman avec son bébé dans les bras, image douloureuse pour nous deux, je lui tenais la main, elle pleurait et je n'ai pas pu m'empêcher de pleurer a mon tour. Des longs jours de silence et puis un soir Lexie n'était pas venue à la maison, aucune nouvelle. J'ai fait le tour de nos endroits favoris et dans ce petit parc à côté de notre arbre, elle était la allongé par terre sans vie.

Non, non, non !
Je la prenais dans mes bras et criais pour que quelqu'un vienne et appelle des secours.
Lexie, qu'est-ce que tu as fait, tu n'as pas le droit de me laisser, tu m'entends, tu n'as pas le droit de mourir. Je t'aime s'il te plait reste en vie.
Son coeur ne battait plus contre ma poitrine, ses poignets en sang, j'essayais de faire pression mais, le sang avait cessé de couler maintenant, mes mains, mon jean étaient couverts de sang, son sang, le sang de la femme que j'aimais. Je restais la en silence, son corps contre le mien, l'ambulance arriva peu de temps après, une éternité pour moi. Je la serrait fort dans mes bras, un ambulancier a vérifié son activité cardiaque.
Je suis désolé, c'est fini, toutes mes condoléances.
Taisez-vous.

Je ne voulais pas la laisser, lui dire au revoir, non je ne voulais pas, la police est arrivée et un des agents m'a pris de force, je restais là immobile me laissant trainer en fixant ce corps sans vie, c'était de ma faute, on aurait dû garder cet enfant. Je me suis juré ce soir la de retrouver mon enfant, notre enfant et de lui parler de sa mère. J'ai retrouvé sa trace à l'âge de 18 ans, à Miami, j'ai décidé de partir la-bas pour suivre son chemin. Les années sont passées j'ai fait mes études de médecine, j'ai pris soin de lui à distance n'osant pas allez le voir, je restais dans l'ombre, suivant son parcours, j'allais à ses concerts, je prenais des photos de lui souvent mais, sans jamais lui dire qui j'étais, c'était mon fils, il grandissait devenait adulte et moi j'étais la en simple spectateur. J'avais aujourd'hui 39 ans j'étais médecin urgentiste depuis 10 ans, lexie encore en tête, je collectionne les conquêtes. Maman a fini par partir rejoindre les anges et lexie quand j'avais 34 ans.