Je viens de Sao Paulo, j'y suis né 13 mars 1987 je suis né dans le salon de mes parents, ils n'avaient pas assez d'argent pour aller à l'hôpital alors c'est à l'ancienne que ma naissance c'est passé. A l'aide de serviette mouillée et d'eau chaude, c'est une amie de ma mère qui joua le rôle de sage femme ce jour la et heureusement pour tout le monde je fus un bébé en pleine forme, le plus petit problème aurait pu me coûter la vie sans médecin à mes côtés. Mon enfance n'a pas toujours était rose, je passais mon temps dans la rue, a admiré des personnes faisant partis de divers gang, très jeune j'avais déjà goûté a tous les alcools existants, mais aussi a tout ce qui se fume, je fus vite enrôlé par un gars de cette façon je pouvais ramener de l'argent à la maison et aider mes parents. Ils n'étaient pas au courant de comment je gagnais cet argent et j'aurais voulu que c'était la dernière façon de le faire seulement un peu plus tard je gravis un second pallier dans la violence mais cela vous pourrez le lire après. Trois ans après ma naissance est venue au monde mon petit frère Paco je voulais une autre vie pour lui et c'est pour cela que je bossais tous les jours quasiment 24h sur 24 pour trouver assez d'argent pour lui offrir une vie digne de ce nom. Depuis toujours je suis un meneur dans la rue, moi et mes cousins nous avons appris à nous faire respecter et ce respect est passé par la violence, je sais me servir d'une arme depuis mes douze ans et croyez-moi je ne compte plus les munitions dont je me suis servi enfin ça c'est aggravé après la visite de ce mec.


J'étais tranquillement installé un soir sur les marches d'un immeuble délabré, trois de mes potes étaient à mes côtés et on discutait business j'avais beau avoir 14 ans j'en savais autant que les dealers plus âgé que moi que voulez vous quand on passe sont temps avec des dealers on apprend vite tout ce qu'on doit savoir. Un mec venait de débarquer il s'était posté devant nous et nous regardait de haut, ni une ni deux je m'imposais à cette époque personne ne me faisait peur et j'aimais rouler des mécaniques maintenant je ne suis plus comme ça et bien heureusement. Il dit simplement : « Je te conseille de te rasseoir, envoie des copains un peu plus loin que toi et moi on puisse parler business, je n'ai pas de temps à perdre alors fait ce que je te dis.» Je ne sais pourquoi, mais je fis ce qu'il me dit, mes potes partirent au coin de la rue ne nous lâchant pas du regard je n'étais pas fou non plus suffisait que c'était un de mes deals qui s'était mal passé les règlements de comptes sont fréquents dans les parages mais j'étais loin de me douter ce qu'il allait me demander. « J'ai un deal à te proposer, y a une personne de mon entourage, qui comment dire, je vais faire simple elle m'a pris mon héritage et je veux le récupérer, à la clef y a 20 000 euros tu n'as qu'une chose à faire me débarrasser d'elle. »


Sur le coup je croyais à une mauvaise blague, j'étais un dealer c'est vrai mais de là à devenir un tueur sur le coup je ne savais pas quoi faire c'était quand même 20 000 euros. Mes parents étaient sur le point de se faire viré de leur immeuble je n'avais pas vraiment le choix alors j'acceptais le deal j'étais loin d'imaginer ce que j'allais devenir avec le temps, je connaissais les rues de Sao Paulo comme ma poche et je n'eu aucune difficulté à me trouver une arme, mais non plus aucun problème pour trouver la jeune femme en question elle sortie de chez elle et je me mis à la suivre, elle avait quoi 20 ans tout au plus mais j'avais un petit frère a sauvé, effectivement celui-ci était malade depuis quelque temps et nous n'avions pas assez d'argent pour les médicaments j'aurais tout fait pour lui et je n'allais pas laisser passer cette chance. Dans une ruelle je remis la capuche de mon sweet je passais à côté d'elle rapidement, puis me retourna levant mon arme j'appuyais sur la détente, je l'eus en plein coeur coup du hasard. Ne croyait pas que je n'ai rien ressenti a ce moment là je suis un homme pas un animal. Cependant même si mon frère avait guérit j'avais de plus en plus de contrat j'étais devenu un tueur je me fichais des victimes je voulais juste préserver ma famille, seulement celle-ci commençait à se douter que je faisais bien plus que du deal.


Un soir ma mère me coinça dans le salon m'interdisant que sortir elle avait apprit de source sûre ce que je faisais pour leur ramenait de l'argent et je me suis pris le plus gros sermon de toute ma vie. J'avais était blessé ce soir là, j'avais une balle dans l'épaule et cela me faisait un mal de chien cependant j'avais qu'une envie c'était de retrouver le fautif et le lui faire payer, je n'avais plus aucune notion de ce qui était bien ou mal mais à partir de ce soir là je me suis dit qu'il valait mieux arrêter les conneries j'en avais bien assez fait. Dans cette même période j'avais remarqué que le corps que je possédais attiré bon nombre de filles et je me suis alors dit que je pouvais me lancer dans le mannequinant chose étrange quand on vient de la rue on a plus tendance à dire que c'est les tapettes qui font ça mais que voulez-vous ce m'est venu comme ça. Seulement pour cela il fallait que je quitte le Brésil ce n'était pas ici que j'allais devenir une star, seulement en exposant mon idée à mon père celui ci me dit clairement que si je quittais le Brésil je ne serais plus jamais le bien venu ici. J'eu du mal mais je quittais le sol brésilien pressé de découvrir une nouvelle ville mais surtout de me faire une nouvelle vie je devais oublier mon passé désastreux j'avais la chance de pouvoir débutait une nouvelle vie et je la saisis sans attendre. Une fois arrivée sur le sol de Miami j'ai travaillé dur dans de petit job miteux je ne parlais pas un mot d'Américain et encore aujourd'hui j'ai un peu de mal mais un jour je suis tombé sur ces deux filles Robbyn et Iris et je leur dois une fière chandelle elles m'ont appris a parlé correctement même si mon accent brésilien m'est resté. J'habite maintenant avec elles deux et c'est une vrai partie de plaisir, mes soucis sont derrières moi même si je me cherche encore surtout niveau sentiments mais surtout en tant qu'homme un passé comme le mien ça ne s'oublie pas seulement il veut mieux essayer le plus possible.