❥ ANDREA INAYA SCOFIELD

ft. miranda kerr

.

Inaya, 22ans, américaine, 20 février 1989, célibataire, hétérosexuelle, Les rois ✘ Edge of glory. Faites maintenant trois court paragraphe de 5lignes. Les fringues ce n’est qu’une étiquette, ça défini d’entrée de jeu dans quelle catégorie de gens vous vous trouvez. Parce que on a beau faire les ignorants il y a les riches et les pauvres ce qui ont et ceux qui rêve d’avoir… Bon peu importe je fais partis des gens qui ont et je ne cache pas que dans le genre dépensière je ne suis pas mal dans mon genre, d’ailleurs il se passe rarement un jour sans que je fasse un achat aussi futile soit-il… l’habitude surement. La plupart des gens vous diront que je m’habille bien, j’ai de bons gout est une certaine classe, je suis très minutieuse sur ce que j’achète et encore plus sur ce que je porte, cela dis j’aime les couleurs, je ne suis pas de ces filles constamment habiller avec ses couleurs sombres, moi j’peu mettre aisément du vert pomme, du jaune fluo, tout me vas quoi. J'ai aucun complexe à parler de qui je suis pourtant j'aime pas tellement, même si je peu paraitre étrange parce que s'est souvent l'idée qu'ont les gens de moi tout ça parce que je ne suis pas ce genre de meuf qui compatis à la douleur des gens. A vrai dire, je peu paraitre sans cœur parce que je ne montre jamais mes sentiments, je suis assez fataliste et il n'y a pas grand-chose qui m'atteint parce que c'est un choix. J'ai toujours pensée que nous être humain nous sommes faibles et je ne suis pas tellement sociable parce que je n'aime pas les gens torturés qui se plaignent constamment de leurs sorts. Je suis plus du genre à aller dans un bar et à me prendre une cuite et à rêver à un lendemain meilleur et, ça marche, ça va mieux, je me lève et je me bats. Je suis assez franche, certains d'entre vous dirons que c'est une qualité, mais la plupart des gens qui me connaissent pense maintenant que c'est mon plus gros défaut parce qu'elle n'a pas de limite, je dis ce que je pense, quand je le pense même si c'est déplacé et ceux qui me connaissent vous dirons aussi que peu importe les obscénités que je sors je suis toujours mignonne. Finalement, attachante, étrange? Oui, parce que le physique ça compte et je suis consciente que j'ai une belle gueule qui passe partout, mais ce n'est pas forcément un atout avec les mecs lourds. Je ne suis pas du genre à coucher à droite à gauche, oh oui j'aime les hommes, le sexe et tout ce qui va avec, mais je suis assez compliqué et imprévisible comme fille, à ce qu'il parait je ne sais jamais ce que je veux. Je pense plutôt que je me lasse vite de ce que j'ai et que j'aime les relations compliquées qui vous torture, ça ne me plait pas quand c'est tout rose. Franche ne veux pas pour autant dire méchante, les gens m'aiment bien en général, mais moi je m'en fous, je ne cherche pas forcément à leurs plaire, je cherche seulement à ne pas avoir de regrets, je suis spontanée, même un peu trop, on peu dire impulsive sinon. J'avoue être égoïste et lunatique, que lorsque je suis énervée j'en mets plein la gueule à tous ceux qui sont là et que je suis ce genre de fille qui cri et qui d'un coup se tait et part, l'imprévisible même finalement. Vous vous apercevez sûrement que j'ai un certain charisme est une allure remarquable, je ne passe malheureusement pas souvent inaperçu parce que je n'ai rien de la fille discrète, je rigole fort, je crie lorsque je suis heureuse, enfin bon... j'espère que je ne vous ai pas fais peur. Le compte en banque ça intéresse toujours les gens, ce que je trouve étrange c’est le fait qu’on soit tous aux yeux du gouvernement des comptes en banques, des chiffres sur un ordinateur rien de plus, humainement parlant il n’y a plus rien, on est bouffer par le fric, sans fric on n’est rien, une poussière parmi tant d’autre alors heureusement pour moi mon grand-père et son père avant lui ce sont tuer à la tache, mon père lui, n’a fais qu’amasser l’argent de l’héritage et l’accroitre et lorsqu’un jour prochain il viendra à crever, ça sera à mon tour. Ah oui, juste au passage, mon père et moi y’a belle lurette qu’on ne s’entend plus, faut dire je suis une de ces plus grandes déceptions comprenez j’ai refusé de devenir médecin quoi… Ma mère elle a toujours préféré rester muette sur la question, tantôt pour son mari, tantôt pour son enfant, partager quoi, normale j’ai envie de dire alors j’ai patiemment attendue ma majorité pour partir de la maison familiale.

..oh baby i love your way..

« Papa j’veux un prada » « t’es bien exigeante ma fille » « maman elle en a un alors j’en veux un » j’ai grandis dans ce milieu appelé la haute bourgeoisie. Mes parents n’ont jamais eu quelconques problèmes financier, leurs quotidien était fait de mondanité, de champagne, sourire hypocrite finement masqué par quelques battements de cils, maquillée par dernière mascara dior. Du maquillage, des thons parce-que dans le monde où je vis les femmes n’en sont plus vraiment, ce sont des pots de peinture. Elles se cachent derrière des litres de font de teint, blush, far à joue, far a paupière, comme si ça pouvais les rendre belles. Ma mère était de ces femmes qui ont un jour miser sur le bon cheval, trouvant l’homme blindé qui serai capable de subvenir à ses besoins, en échange ? de la descendance, bien entendue excepté que ma mère n’a jamais voulu renouveler l’expérience de la grossesse après ma naissance, soutenant que les gosses c’est comme des virus, ça vous contamine durant neuf mois, un clou au cercueil, une entrave à la liberté, vous tuez à la tache pour offrir à vos morpions une éducations, des habits et je vous en passe. Ma mère en a gardé d’affreuse trace sur le corps, c’était d’ailleurs l’une de ses vannes récurrentes « avec les traces que tu m’as laissé sur le corps, tu me dois au moins ça » je lui devais quelque chose ? On ne m’avait pas demandé mon avis à moi « la contraception s’est pas pour les chiens ». Mon père lui, s’était tout autre chose, il avait tout au long de sa vie obéit aux règles de son père et de son grand-père, il était devenue avocat parce que son père et son grand père l’avait décidé, naturellement, il s’attendait à ce qu’il en soit de même pour ces propres enfants. Première déception ? J’étais une fille, ses rêves s’étaient écraser en même temps que l’annonce du verdict. Seconde déception ? Je n’ai jamais respecter ses projets d’avenir « sans moi tu serais pas là » « c’est un grand service que tu m’aurais rendue » parce-que celons mon père, je lui dois quelque-chose, si je suis née, si je respire c’est avant tout grâce à son bon vouloir, comme si à présent il y pouvait quelque-chose.

Être fille unique, ça n’a pas tout les jours était faciles vos parents reportent toutes leurs attention sur vous parce-que vous êtes leurs unique chérubin alors ils veulent que vous soyez leurs trophée, pouvoir vous exhiber fièrement devant leurs amis et leurs familles proches « mon gosse il est meilleur que le tiens » c’est ça le message premier parce-que dans la vie il est constamment question de bataille, dès votre enfance, vos parents vous mettent la pression « allez marche ! t’as 13 mois je comprend pas là » « elle parle toujours pas pourtant la fille de la voisine elle a qu’un jour de plus et elle sait dis déjà maman et gâteau ! » puis, ça ne fais que ce prolonger lorsque vous entrer a l’école…. Ma vie jusqu’à présent était un combat, quotidien... Plaire à mon père, plaire à ma mère plaire aux autres, être studieuse, être polie, ne pas faire ci ne pas dire ça, rester calme, sage, douce, ne pas se pencher, pas de coudes sur la table, plie ta serviette….

Oui je sais ce que c’est d’avoir la sensation de ne pas exister jusqu’à ce qu’il te regarde, qu’il te touche la main, qu’il se moque de toi. Le but c’est que les autres voient que tu es avec lui... tu es à lui...
P.S. I Love You.

Un verre, deux verres, puis trois, je bois pour oublier l’absurdité de ma vie dans ce monde pourri, je ne sais pas de quoi sera fais demain mais je m’en fou, parce que demain, je serais encore blinder, demain je pourrais ne rien faire ma vie serais toujours ce qu’elle est, j’ai pas d’enjeu, pas de but, pas de motivation puisque de toute façon je sais que l’argent est la clé, la motivation primaire de la plupart des gens, quoi d’autres ? Je bois un quatrième verre, un cinquième, un sixième, puis j’y laisse la bouteille… Noyer mes soucis j’en fais une affaire personnel, des litres de téquila que je cracherais surement plus tard dans la ruelle. Je fini par ne plus les compter, les nombres ça n’existent même plus, j’ai passé ma soirée à recaler des relou, c’est si dur à comprendre que y’ai des soirs comme ça où on ai envie de se retrouver seule avec soi ? « il va me falloir tes clés ma belle » me lance furtivement le barman, je le fixe mais ma vision est troublé par l’important débit d’alcool présent dans mon sang « nan » c’est simple, c’est clair, je fini mon verre le faisant claquer contre le comptoir avant de sourire bêtement, je me lève, effort vertigineux qui me fais presque aussitôt tourner la tête, je sens mon pied se perdre, chute imminente quand un bras m’intercepte, j’ai dû mal à comprendre, une voix en fond sonore se fais entendre « j’vais m’en occuper, elle a beaucoup bu ? » « Une bouteille et demi depuis qu’elle est arrivé » je reconnais mon colocataire, l’homme de ma vie, ce con « qu’est c’que tu fais ici ? » il rigole, dégageant les mèches venus encombrés mon visage « une fois de plus je viens te sauver » « j’pas besoin de toi » je prends appuie sur lui, sortant de cette endroit dans lequel j’avais niché toute la soirée… Je peine à marcher, je ne tiens presque plus debout, parce-que s’est ça LA grosse cuite menstruel, celle qui te remet les idées en place.

Il m’amène vers sa voiture « hop ! Hop ! Hop ! T’es sam ? » « Ouais, j’suis réglo » je rigole, déviant de ma trajectoire, mon corps balance tantôt à droite, tantôt à gauche « tu t’appelle pas sam ! » il lève les yeux aux ciels, souriant légèrement « allez, commences pas où je viens te chercher » « je crie fort si tu m’attrapes » il monte alors, démarrant la voiture presque aussitôt, la fenêtre s’ouvre, sa tête entre dans mon champs de vision « bonne soirée » « naaaaan ! Me laisse pas ! Je pourrais pas rentrer » il sourit j’ouvre la porte il accélère au même moment « RECOMMENCE PAS ! Allez euuuuh ! » il joue avec moi, comme il a toujours aimer le faire, ça l’amuse de me rendre folle de lui, de me pousser à me détester parce que le seul gars auquel je m’approche est un de ces gars auquel il n’est pas bon de s’accrocher. Il a ce truc en plus, ce mystère, cette façon de me toucher de me parler, c’est absurde mais l’humanité est absurde, le monde, ses sentiments sont absurdes et nous ne sommes que des abrutis qui courent à leurs pertes. On s’accroche à cette fine branche qui se prénomme l’amour jusqu’au jour où elle nous pètera en pleine gueule….

Et ça va durer très longtemps, et tu sais pourquoi je l’sais ? Parce-que encore aujourd’hui, tous les matins au réveil, la toute première chose que j’veux c’est voir ton visage.
P.S. I Love You.

J’ai passais ma fin de soirée à le regarder dormir et je sais toujours pas pourquoi j’suis comme ça près de lui, et pourquoi je dis toutes ces choses stupides, pourquoi mon cœur bat si vite, pourquoi je sens les mots, la situation me filer entre les doigts, pourquoi rien n’est simple ? Et pourquoi je trouve plus mes mots ? Pourquoi je me les repasse centre trente fois ayant presque peur de le heurté et pourquoi ça m’fais si mal de le savoir ailleurs, avec d’autres. J’ai envie d’me laver a la javel, avec ces produits ultra chimique qui bouffe tout sur leurs passages je me dis qu’avec un peu de chance ça bouffera cette avalanche de sentiments, ce pouls qui s’enflamme trop vite en sa présence, mon cœur à la limite de se faire la male, moi je ne demande rien si ce n’est de retrouver la liberté de mon cerveau pouvoir penser à tout sauf à lui. Je pousse la porte de l’appartement, persuader de le trouver assis sur le canapé, c’est habituel et en même temps agaçant, comme un vieux couple, on se dispute, on s’fais la bouffe, on parle de nos journées, on s’encourage, on fini devant la télé, une bière en main on fini par se coucher, d’abord séparément, puis l’un vient alors rejoindre l’autre. Je le découvre, assis sur le canapé, prévisible, et en même temps j’me rends compte qu’on est plus proche qu’on ne le devrait, que s’est avant tout notre relation, continué à l’apprécier, lui parler, toutes ces choses qui nous mènent lentement vers notre perte. Il a beau soutenir le contraire, parce-que lui s’est un mec qu’on ne contredit pas, il est beau, il est fort, il n’a besoin de rien, l’indépendance s’est sa carte maitresse, sa liberté il serait prêt à crever pour elle, et d’ailleurs pour elle uniquement. Il est avec sa bouteille de champagne, il me sourit fièrement, je vois qu’il a du mal à contenir sa joie, mais j’me demande bien pourquoi…. « Qu’est ce qu’on fête là ? » « Ma promotion… » je souris m’approchant de lui d’un pas enthousiaste, je le prend dans mes bras « je suis ravie pour toi ! » « Merci, sans toi j’y serais pas arrivé. » « Ouais c’est clair » je rigole et son rire accompagne le miens, il me tend une coupe, mes yeux se plongent dans les siens « a ton avenir » il se mordille la lèvre avant de sourire « a notre avenir. » pour lui, ce n’est que des mots, je sais que ces mots il ne les pensent pas que de toute façon un gars comme lui se voit seule dans son avenir, et moi ? Moi j’suis quoi ? J’suis devenue de ces filles qui pensent par un gars tout au long de leurs journées, j’lui laisse avoir le dernier mot, décidé pour moi, parler de « nous » comme ci c’était normal.

Après quelques verres, nos langues se délient, je sens l’ivresse, et mes paroles ne font que souligner l’état avancer dans lequel je suis, lui son seuil de tolérance n’est toujours pas atteint, à ce jeu là il a toujours été le plus fort « moi j’y ai dis au patron j’suis un boss ! J’y peu rien, tout le monde m’aime, tout le monde me veux » je rigole, apportant mon verre à mes lèvres « toi tu veux toujours tout » « t’avoir toi ça m’suffirait » mon verre me glisse des mains, l’électrochoc, je rigole « tu te rends compte de ce que tu m’dis là ? » « Non pas trop. » « Ah ouais j’me disais. » il s’approche de moi « tu veux que je te dise quelque-chose que je pense ? » « Moi d’abord ! » il m’embrasse « je t’aime »

On dit jamais rien pour rien, ça veut toujours dire quelque chose.
P.S. I Love You.

Non on a pas vécue heureux et eu plus d’enfant, ici bas s’est la vie réel, on n’est pas dans un compte de fée ; Le lendemain matin, ses mots n’étaient finalement plus que des mots sur lesquels il ne voulait sans doute pas revenir « ce que je t’ai dis hier, c’était l’alcool » m’avais il lancer tandis que je déjeuner tranquillement, j’avais hochais les épaules « d’accord. » de toute façon, que pouvais-je dire d’autre ? Est-ce que je m’attendais à mieux ? Pas vraiment, c’était de ces gars qui font un pas en avant et six en arrières, ce qui ne mène jamais nulle part. Moi je m’en fou parce que j’ai pas d’endroit que je vise, je me fous que ça nous mène nulle part parce que nous ne sommes jamais partis, du moins jamais ensemble, on se cherche, on se trouve puis on se perd pour mieux se retrouver, c’est un jeu sans cesse ce même jeu débile.

BEHIND THE SCREEN

.

Emilie ou Lilye, dix sept ans, France (a)

COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? PAR MA KIKETTE ! ohh brillante et belle kikette (ça fais peut être un peu pervers mais c'est son surnoms hein)
QUEL EST TON NIVEAU DE RP (environs) ? difficile de se noter soi-même.
AS-TU QUELQUE CHOSE A AJOUTER ? j'aime kikette & ma blondassse de rim (5ans mon amour, 5ans.) mdr
QUEL EST LE CODE DU REGLEMENT ? Ok by ta kikette ( ventarde ! )
AS-TU ENVOYE TON SECRET AU MAIRE ? Oui

EXEMPLE DE RP. (si vous avez pris un scénario, nous vous mettrons en situation. Ce qui veut dire que nous vous demanderons de vous mettre en situation vis à vis de votre personnage, et donc, vous devrez créer un rp concernant ce que nous vous demanderons. Une fois le rp terminé, votre fiche le sera aussi. A quoi cela sert ? Tout simplement à assurer au créateur de votre scénario que vous êtes LA bonne personne. )

La porte s'ouvrit, mon souffle se coupa presque aussi net dans une violence jusque là jamais connu mon coeur bondissais dans ma poitrine, je sentais ma gorge devenir sèche, une étrange chaleur m'envahir tout le corps, mes joues rougissaient légèrement tandis que je le dévisageais restant à proximité de lui, figer. Dans un fracas, son sac rejoignait le sol, je le voyais s'approchait de moi a vive allure, j'eus le temps de faire quelques pas puis ses bras s'enroulèrent autour de moi me soulevant à quelques centimètre du sol, une sensation si bonne que j'avais pourtant oublier, car ça m'étais devenue presque superflu de pouvoir un jour revivre ça « Tu m'as tellement manqué » déclara il en plongeant ses yeux dans les miens, je le dévisageais quelques secondes, un léger sourire apparaissant sur mes lèvres tandis que je sentais la culpabilité monter, je me retrouvais aussitôt de nouveau contre lui, je le serrait un peu plus « tu m'as aussi manqué » je me décollais, retrouvant le sol avant de coller mes lèvres aux siennes dans un baiser passionné tout en faisant glisser ma main dans ses cheveux. Le moment était presque irréel, dans mon cerveau une seule fin plausible, j'allais me réveiller dans mon lit. Je le regardait une nouvelle fois, touchant son visage « je n'ai pas arrêté de prier pour que y'est un Michael Scofield avec toi » je rigolais, tentant tant bien que mal de noyer mon stress par des blagues idiotes qui ne feraient rire que moi, mais ça aussi, il en avait l'habitude. Je m'éloignais de lui, le scrutant dans son intégralité « pince-moi ! » ça ne pouvait être qu'un rêve mais parallèlement je ne me souvenais pas que ma culpabilité m'est poursuivit jusque dans mes rêves, mais je ne pouvais pas laisser paraitre quelconque doutes sur mon visage, je ne pouvais pas soupirer ni même avoir le regard pensif, je le connaissais tellement bien après toutes ces années, il n'était pas stupide, il devinerait très vite que quelque chose s'est passé, il avait toujours su lire en moi comme dans un livre ouvert.

Je me sentais stupide, stupide de m'être attacher à un autre et de me retrouver dans une situation aussi délicate, les choses auraient pu être simple, je lui aurais avoué mon infidélité, jurer de ne plus recommencer et s'il m'aurait pardonné nous aurions pu recommencer à vivre dans un bonheur plus ou moins semblable à celui de nos débuts à GrandView. Mais non, j'avais des sentiments qui étaient nées pour un autre, j'avais croqué dans la pomme interdite, j'avais mis à néant tous mes principes, celui auquel je ne pensais pas pouvoir m'attacher, je m'y étais attacher, je l'avais laisser apprendre à me connaitre à voir celle que j'étais vraiment, j'avais découvert une sensibilité refouler chez lui, ça m'avais semblé tellement simple et libérateur, ça m'avais procuré cette adrénaline qui vous plonge dans une profonde euphorie, c'était toujours mieux que de pleurer, de ressasser, de me demander ce que j'aurais pu faire pour éviter tout ça, je n'avais jamais était de ces copines qui vous appelles toutes les demis-heures pour savoir où vous êtes, avec qui vous échanger des messages a longueur de journée, je lui avais donné sa liberté du moins dans la limite où ses mains ne se posaient pas sur d'autre femme.

Mes sentiments naissant, ne m'empêchait pas pour autant d'aimer Nash, d'un amour destructeur qui m'avait coûté très cher. Qui avait failli me coûter ma famille ainsi que ma fortune familiale. Mais, voilà ça ne m'avais pas heurté, j'étais partis à son bras laissant tout ça derrière moi pour un homme, mais pas n'importe lequel alors la déception n'en avait était que plus douloureuse. Je m'approchais de lui, posant mes mains sur ses poignets avant de les remonter le long de ses bras avant de parvenir à sa nuque, je les refermais autour de cette dernière, l'embrassant une nouvelle fois redécouvrant la douce saveur oubliée, il y avait des tas de choses sur lesquels il fallait que l'on discute, sont avenir avant même d'énoncer le nôtre, les potentielles erreurs que j'aurais commise en son absence et une question certaine, était-ce réellement fini ou cette fois-ci encore il me mentirait ? mais je voulais laisser tout ça de côté, profiter de son retour « J'ai tant de fois imaginé ce jour » murmurais-je à son oreille avant de l'enlacer.