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 .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:.

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.:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:. Vide
MessageSujet: .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:.   .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:. EmptyMer 24 Aoû - 23:47

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❥ Keith Alexander McKay
ft. Shemar Moore
.
Keith, 25 ans, 14 février 1986, américain, en couple, hétérosexuel, Never say never

Keith est né de l’union d’un afro-américain et d’une américaine à la peau blanche comme la neige. Si ses sœurs sont d’avantage chocolat au lait que lui, il a la peau couleur cacao. Il est le portrait craché de son père. Ces traits sont délicats mais virils. Son visage est déterminé par une mâchoire carrée et bien droite. Son nez est un peu gros à cause de ces origines afro-américaines. Narines épatés légèrement, mais cela n’enlève pas au charisme du jeune homme. Ces yeux sont le plus grand atout de cet homme de caractère. Ils sont marron foncé avec un iris beaucoup plus pâle et ils sont entourés des sourcils noirs expressif. Ses lèvres sont d’un rose pâle et il sourit le plus souvent possible découvrant des dents blanches comme la neige et parfaitement alignés. Ces cheveux sont d’un noir jais et il les porte court depuis quelque mois par demande de la police. Il porte aussi une petite barbe de deux jours. Le jeune cadet de la famille McKay a une allure physique assez sportive et une carrure imposante. Policier de métier, il a longtemps été sportif au niveau universitaire. Sa vie active ne serait rien sans le vélo. Des mollets aux pectoraux, le jeune membre des forces armées est tout en muscle et en fitness. Keith aborde aussi un style assez mature. Il porte de tout. Il adore les chemises aux couleurs assez vives, les t-shirt neutres et les paires de pantalon. Il est donc un genre de jeune professionnel, après une allure d’adolescent rappeur qui a duré jusqu’à ces vingt-deux ans.

On dit souvent que le milieu dans lequel on grandit marque notre caractère. Enfant d’un milieu paupérisé, Keith est l’exemple même de ce jeune homme un peu dur. Têtu et obstiné, Keith est le genre du personne avec qui il ne faut pas argumenter – surtout si c’est un sujet qui est important pour lui. Mais n’allez pas penser qu’il a mauvais caractère et qu’il est méchant. Il est doux comme un agneau et extrêmement généreux. S’il viendrait un jour à beaucoup gagner d’argent dans sa vie, il serait le genre à faire de grande donation pour sa communauté. L’esprit de famille chez lui – ironiquement perdu par une histoire familiale complexe – s’applique davantage à une communauté élargie. Au monde qui l’entoure. Il a décidé de devenir policier assez jeune et c’était pour lui un rêve d’enfant. Il voulait changer le monde en entier à sa manière. Déterminé, il a tous mis de son bord pour réussir. Professionnellement, il est compréhensif et doué d’une assez bonne psychologie. Profiler est le métier auquel il est destiné, bien qu’il veuille être encore sur le terrain pour quelques années encore. Défendre la veuve et l’orphelin est exactement son genre. Il aime se sentir utile. Il aime l’activité et les surprises que lui réserve son métier. Il en a vu beaucoup et a un caractère assez endurci devant les horreur. Il adore son boulot sans pourtant être un accro au travail. Il se verrait très mal faire passer son boulot avant ses amis. Actif, énergique et positif de nature, il en reste un être qui a besoin de canaliser son surplus d’émotion. Son caractère veut aussi que ce soit un être respectueux qui avant était très croyant mais qui remet en cause. Même si sa nature profonde n’a pas changée, le jeune policier a quand même beaucoup changé au courant des dernières années. Il est devenu beaucoup plus réservé et il a peur de s’engager officiellement revenant un peu comme il l’était au lycée et avant même. Il a eu une période coureur de jupon qui est maintenant passé. Il est ce type très romantique mais qui a peur d’aller plus loin dans sa relation avec les femmes après ce qui s’est produit avec sa seule ex sérieuse. Tant en amour qu’en amitié, ce policier est fidèle. Il aime aussi surprendre et être surpris. Doté d’un bon sens de l’humour, il a compris qu’il faut voir plus loin que les petits tracas de la vie pour avancer. La persévérance est son mot d’ordre. Il reste qu’il est quand même assez blessé. Comme tout homme, il a son orgueil. Manuel de nature, il serait le genre à essayer de réparer la plomberie par lui-même avant de contacter un plombier.

Keith et sa famille? C’est une si longue et une si courte histoire. Avant Keith s’entendait à merveille avec ses sœurs et sa mère. Mais avant, c’est justement avant. Avant un paquet d’élément dont Keith n’a pas toujours envie de parler. Quand la vie ne nous donne pas une vie rose, il faut se la bâtir soi-même et c’est ce qu’il a fait. Le père de Keith est parti il y a déjà quelque années de la maison. Avec une autre femme. Il est parti pour mieux quand son mariage s’est mis à battre de l’aile. Plutôt que de se battre avec une femme qui ne suivait pas les ordres de son docteur, il l’a laissé seule avec quatre enfants. Keith en seul homme de la famille du haut de ses seize ans à l’époque a pris la responsabilité d’homme de la maison. Il était l’ainé et se devait d’être à la hauteur. Il reste encore une rancune immense envers son père bien qu’il ne soit pas le genre de personne à se torturer inutilement. En apprenant à connaître Keith, vous réaliserez qu’il ne parle presque jamais de sa mère qui est au prise avec une forme précoce de la maladie d’Alzheimer. Il vous dira qu’elle est placée en institut depuis plus ou moins un an et manifeste des symptômes depuis deux ans. Le jeune homme aime aussi profondément ses trois sœurs mais il garde une certaine distance avec ces dernières depuis la disparition de son fils, il y a quatre ans. Il faut aussi dire que les trois ont quitté Miami suite à leur études universitaires grace à des bourses universitaires – la même chose qui lui avait permis de fréquenter l’université. Il n’entretient aucune relation avec son ancienne fiancée et la mère de son fils. Par contre, il a recommencé à se bâtir une vie grâce à son ange gardien, sa belle Alissa E. Lewis, qu’il aimerait bien avoir le courage de la demander en mariage puisqu’ils se fréquentent depuis bientôt vingt-six mois… mais il faudrait d’abord avoir le courage d’emménager ensemble.


Dernière édition par Keith A. McKay le Jeu 25 Aoû - 22:19, édité 11 fois
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.:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:. Vide
MessageSujet: Re: .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:.   .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:. EmptyMer 24 Aoû - 23:47



..oh baby i love your way..
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C’était un beau matin d’août, quelques jours après la rentrée étudiante, l’un de ses jours de semaine comme seul Miami en connaissait. Il faisait un soleil radieux et la ville était joyeusement animée. Normalement, quand il n’était pas en service, Keith Alexander McKay passait la plus grande partie de ses journées sur la plage, du moins l’été. En période scolaire, il sortait ses photos du Nicaragua ou son habit de cycliste et il allait parler dans les écoles élémentaires, les collèges et les lycées. Parler d’un tas de choses, de stages humanitaire, d’entraide et de prévention. De l’importance de donner au suivant. Donner pour les générations qui allaient nous suivre. Petit, il n’avait jamais pensé qu’il se serait un jour levé pour aller s’asseoir dans l’un de ces petits cafés du bord de la plage pour attendre un des journalistes du journal étudiant du lycée. Mais voilà qu’en ce chaud matin d’août, il avait été contacté par le journaliste – Matthew Taffet – pour une entrevue sur lui. Sur cet homme de la communauté, qui avait grandi dans le quartier pauvre mais qui avait réussi dans la vie. Keith s’assit sur la terrasse et commanda un bon café chaud et une brioche tout ce qu’il y avait de plus normal dans le « au bon pain » du quartier. L’eau était calme au loin. Le policier se perdit dans ses pensées dont il fut tiré par l’arrivée d’un jeune homme. Le dénommé Matthew était plutôt petit. Afro-américain. Le genre qui n’avait pas fait l’équipe de football comme Keith l’avait fait au lycée. Il portait des lunettes et avait l’air d’un mélange étrange entre un rappeur et un petit geek en puissance.
Matthew Bonjour monsieur McKay. Il s’agit d’un véritable plaisir de vous rencontrer. Comme je vous l’ai dit au téléphone, notre journal étudiant se penche sur une série de héros locaux qui pourraient inspiré nos lycéens et votre parcours est celui qui est idéal pour commencer notre série. Je vous remercie donc de cette entrevue.
Le jeune homme aux mains moites était visiblement un petit tourbillon vivant – bien que Keith l’avait réalisé en lui parlant au téléphone. Il s’était à peine assis à la table qu’il avait commencé à parler en sortant un magnétophone et un papier et un crayon. C’était Thomas Piro, l’éducateur à la vie étudiante de son lycée qui lui avait parlé de Keith – qui coordonnait, cinq ans auparavant, le projet de stage étudiant au Nicaragua des dernières années à partir du terrain. Il avait eu besoin de cela pour l’aider à une période de sa vie. Le jeune policier sourit doucement.
Keith Bonjour, Matthew. Assis toi et respire un bon coup. Nous ne sommes pas pressés, c’est l’une de mes journées où je ne suis pas en service et ma petite amie travaille. Alors, il n’y a pas de stress. Et tu vas me faire le plaisir de m’appeler Keith. Monsieur McKay, c’est mon père.
MatthewD’accord Keith.
L’adolescent se commenca un café, ce que le policier trouva absurd puisque le jeune homme semblait avoir l’énergie de dix-milles personnes de concentrer dans son corps. Keith n’avait pas les habitudes des entrevues en tête-à-tête. Pas plus que d’être considéré comme un héros local. Il faisait ce qu’il croyait bien pour ce monde. Le policier resta donc assis en attendant que Matthew ne pose la première question. Mais ce dernier prépara le magnétophone et le démarra.
MatthewDonc, Keith, vous allez bien?
KeithC’est une magnifique journée. Je vais donc très bien et vous?
Matthew Je vais aussi très bien. Vous êtes surtout connu au près du lycée comme étant l’initiateur du projet Liaisonneuve. Pouvez-vous expliquer en quoi consiste ce projet?
KeithLiaisonneuve est un stage. Non pas d’apprentissage de la langue espagnol. Mais un stage d’implication communautaire. Il s’agit d’un stage de huit semaines qui se déroule l’été, au Nicaragua. Nous en sommes à préparer la cinquième édition. Une quarantaine de jeunes s’y envolent pour aider à construire des hôpitaux, des terrains de jeux. Ils logent dans des familles sur place. Il faut avoir de la détermination et une bonne force physique. C’est un stage qui nous en apprends beaucoup, sur la culture… mais surtout sur soi. C’est pour cette raison que le projet est supporté par le lycée, mais aussi par le centre communautaire et l’église protestante.
Matthew Pourquoi au Nicaragua plutôt qu’ailleurs?
Keith Le Nicaragua est l’un des pays les plus pauvres d’Amérique central. J’y étais quand j’ai parti le projet. Un peu en exil. J’ai été séduit par la culture de là-bas, mais tétanisé par le travail qu’il y a à faire. Il faut faire de la prévention et du travail.
Matthew Concrètement, comment est venu au monde le projet Liaisonneuve?
Keith J’ai contacté Thomas qui était déjà animateur à la vie étudiante quand j’étais étudiant. Il est venu passé une longue fin de semaine dans mon petit coin. Et il a été séduit par l’idée, par l’aide à apporter. Par ce que cela pourrait faire à ses étudiants. J’ai commencé à trouver des familles qui accepteraient d’héberger des couples, dans le village où je vivais, en échange d’argent. Il a trouvé des jeunes, du financement. Je me suis chargé de trouver un projet. Et en juin, nous voyions la première flotte d’étudiants.
MatthewAujourd’hui, quel est votre rôle dans le projet?
KeithJe ne suis plus le coordonnateur de terrain. Je suis davantage celui qui fait la promotion dans les écoles du projet. Je parle de ce que ce projet implique. Car c’est bien plus que ce que les photos ne puissent le montrer. C’est changer le monde. Un petit bout à la fois. De manière très réelle et sensible. C’est aussi apprendre à vivre loin de sa famille et ses amis. Et je parle de mon expérience d’exiler dans une autre culture. Dans un autre monde. Où internet n’est pas rapide, où l’eau chaude n’existe pas, où certaines personnes n’ont pas d’électricité.
Matthew Oh! Il s’agit vraiment d’un autre monde…
Keith En effet, mais c’est ce qui motive les jeunes. C’est apprendre en sautant dans le vide. À partir de rien
MatthewJe vois! Vous êtes aussi connu comme étant l’une des personnes les plus impliqués dans les dons au profit de l’hôpital de Miami. Qu’est-ce qui vous pousse à vous impliquer dans cette cause?
Keith J’ai… Nous ne savons jamais vraiment quand quelqu’un qui nous est vraiment cher peut tomber malade. Plus qu’un rhume. Vraiment malade. Malade au point d’en mourir. C’est pour cette raison que je m’implique dans l’hôpital. Parce que je sens que c’est une manière de rendre honneur à une personne que j’ai perdu qui m’était très cher et qui n’a pas survécu. Quelqu’un qui a perdu son combat contre sa maladie. Malgré tous les efforts qu’il a pu mettre. C’est pour cette raison que je m’implique dans les courses cyclistes, dans les demi-marathons. Parce que peut-être un équipement plus sophistiqué aurait pu le sauver.
Malgré les efforts qu’il avait mis. Keith n’avait pas réussi à masquer l’émotion. Parler de son fils était douloureux… même plus de quatre ans après que le petit était décédé lors d’une opération à cœur ouvert. Il se rappelait du regard de son ex quand le médecin était sorti de la salle d’opération. De cette culpabilité qui l’avait envahi, lui. Leur fils n’avait pas survécu. Perdre un enfant à des conséquences tragiques. Il avait rencontré Lexie à 16 ans, il lui avait fallu longtemps pour se rendre compte qu’il l’aimait. Après deux ans de fréquentations en haut et en bas, il en avait fait sa fiancée. Quelque mois plus tard, en début décembre, il était devenu le père de Danny qui était né avec une grave malformation cardiaque. Et dès que son fils avait été enterré, il avait enfourché son vélo et il était parti. Loin. Loin. Loin. Là où la douleur ne serait pas capable de l’atteindre. Il avait vingt ans… presque vingt et un quand il était arrivé au Nicaragua. Et la création de Liaisonneuve l’avait sauvé. Il avait tout ce qu’il fallait pour être policier. Mais il avait préféré être un simple homme à tout faire, un simple organisateur. Et il avait ressenti le besoin de revenir. De devenir un policier. De sauver le monde. À 23 ans, il était revenu à Miami, enrichi de son expérience de vie unique. Il avait repris sa place qu’il avait quittée après la mort de son fils. Il avait recommencé à faire du vélo pour des bonnes causes. Et dans une des fêtes de levée de fond, il avait rencontré Alissa qu’il avait aimé toute suite et qui lui avait servi de contre poids pour tout ce qui se passait dans sa vie, la maladie de sa mère, l’absence de son père, la disparition de son fils. Matthew respecta le silence de Keith qui dura un instant. Peu de gens savaient pour son fils. Alissa elle-même ne savait pas, qu’il avait été fiancé, qu’il avait eu un fils. Alors il ne l’aurait pas confié à un presque inconnu qui l’aurait marqué dans un journal. L’ange passa. Keith hocha la tête .
Matthew Vous êtes aussi connu pour faire parti de la section des crimes majeurs et de l’unité de prévention en milieu scolaire de la police. Pourquoi ces deux unités?
Keith C’est en fait une raison très simple. Les crimes majeurs, c’est la section qui bouge le plus. Et comme je rêve en jeune policier que je suis d’accéder à l’unité des profiler, il est le meilleurs détour… quant à la seconde unité, c’est le moyen d’aider à l’aide directe. La prévention, c’est donner des armes pour se défendre… et ça ressemble à ce que j’ai fait au Nicaragua. C’est un moyen de donner de l’aide à des gens.
MatthewVous considérez donc qu’il est important de donner au suivant?
KeithDonnez au suivant est la base de la vie. Les autres ont besoin de support, d’amour, d’affection, de vie. Il faut donner la clef à ceux qui en ont besoin et la cherche. Pour moi, c’est en étant policier, en ayant créé ce magnifique projet qu’est devenu Liaisonneuve, en courant pour la fondation de l’hôpital de Miami que je donne à mon prochain pour m’assurer que le monde sera meilleur demain.
Matthew Et bien, je crois qu’il n’y a pas de meilleur mots pour finir cet entrevue. Merci beaucoup, monsieur l’agent pour cette rencontre
Keith Cela a été un plaisir. Mais... je tiens vraiment à préciser que ce n'est pas de moi qu'il faut le plus parler. C'est de Liaisonneuve. C'est de ces jeunes qui ont la volonté de changer le monde. Des autres cyclistes qui font comme moi chaque année. Si j'ai accepté de faire cette entrevue, c'est parce que leurs travail à eux aussi mérite d'être connu. En juin prochain, je partirais probablement avec un groupe au Nicaragua. Et il serait agréable de pouvoir modifier encore plus de vies. Car c'est en communauté que l'on peut changer le monde.
Après un bref serrage de main et la promesse que Keith pourrait voir l’article avant la parution, les deux hommes se séparèrent. Keith retourna vers l’humble maison où il avait grandi et qu’il occupait maintenant seul et qui était situé dans un quartier défavorisé. Il ouvrit la porte de la maison. Laissa tomber son sac. Il pouvait faire ce qu'il voulait maintenant que cette rencontre était terminée. C'était pour cette raison qu'il prit le téléphone et qu'il composa le numéro de téléphone d'Alissa. Elle ne décrocha pas, mais cela ne le choqua pas outre mesure. Elle était en poste. il le savait. Il laissa donc un petit message sur sa boîte vocale
Keith Salut Chérie. Ce soir, je te gâte. Passe chez moi, je fais ton souper préféré. Juste pour toi. Je veux avoir de tes nouvelles. Je t'aime.


-> Je tiens à préciser que le concept de Liaisonneuve ne vient pas de moi, mais de mon école. Liaisonneuve est un stage humanitaire qui en est à sa 19e édition cette année au Collège de Maisonneuve. Je ne veux donc pas prendre le crédit.


Dernière édition par Keith A. McKay le Ven 26 Aoû - 0:49, édité 10 fois
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.:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:. Vide
MessageSujet: Re: .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:.   .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:. EmptyMer 24 Aoû - 23:47


BEHIND THE SCREEN

.
Je m’appelle Bianca, mais on me connait sur Internet sous le nom d’Ozone 1992 ou d’acnaib tout simplement. Je suis une fille, de dix-huit ans qui n’est jamais sorti dans un bar ou un club et qui n’en voit pas l’intérêt. J’adore écrire. C’est une de mes grandes passions – avec le théâtre et vous taper sur le système en parlant de mes chats (j’en ai deux maintenant, donc c’est moins pire que quand j’en avais trois). Je travaille dans un McDonald et je suis membre de trois forums en même temps (pour un total de quatre comptes). Je suis québécoise – ce qui explique mes heures de connexion bizarre. Y’a-t-il des questions? C’est la première fois que je joue un homme depuis très longtemps.

COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? Par le biais d’Alissa E. Lewis
QUEL EST TON NIVEAU DE RP (environs) ? Je dirais qu’il est assez fort. Je ne sais pas faire de post sous les 600 mots (ce qui équivaut à une trentaine de ligne) et je suis un peu la reine du pavé (de type décousu)
AS-TU QUELQUE CHOSE A AJOUTER ? Ouais. Zoli fofo!
QUEL EST LE CODE DU REGLEMENT ? Okp by le plus beau !
AS-TU ENVOYE TON SECRET AU MAIRE ? ? Va être fait quand je vais le déterminé.

EXEMPLE DE RP.
Par ici, de toute façon, nous ne regardons jamais vers le passé très longtemps. Nous avançons vers l’avant, ouvrant de nouvelles portes et accomplissant de nouvelles choses, parce que nous sommes curieux… Et la curiosité nous attire dans de nouveaux chemins.
– Walt Disney
Edena se releva comme si rien n’était. Sa cheville droite qui avait osé défier le crayon élançait. Elle sentait le regard de plusieurs étudiants fixé sur elle. Sur son ventre. Il y eu un moment où personne n’agit. Personne ne parla. Pourtant, dans un corridor de lycée, juste avant le midi, tout le monde sait que le silence est quasiment impossible à obtenir. Et pourtant, il était là et opprimant sur son passage tout le monde. Le temps semblait s’être figé. Que fallait-il faire dans le cas où une femme enceinte de sept mois et deux semaine se tape la plonge (et du même coup, la honte) du siècle dans un escalier bondé et tout ça à cause d’un idiot de crayon? Et n’allez pas croire que du côté d’Edena, il ne se passait rien. Son corps entier était en alerte. Hurlant « AUX BARRICADES ». Si la personne qui aurait fait la chute dans les escaliers n’avait pas été enceinte, la chute aurait probablement été filmée et mise sur YouTube pour le plus grand amusement du monde entier. La foule aurait éclaté de rire. Fallait-il qu’elle parle? Qu’elle dise un truc pour détendre l’atmosphère? Oui, c’était probablement la meilleure chose à faire. Edena sourit, redressa les épaules et déclara d’un ton quasi cérémonial.
Edena P. Miller – Ça va. Même pas mal. Y’a pas mort d’hommes! Circulez! Y’a rien à voir!
Mais qu’est-ce qui avait bien pu nous mener à cet instant bien précis? Pour se faire, nous remontrons un peu plutôt dans la matinée.

La température s’était encore réchauffée dans les deux derniers mois. Mars avait été incertain et pluvieux, comme il l’était habituellement. Le ciel morose avait accompagné le tournoi de football. De belles journées ensoleillées avaient accompagné certains des matches dont certains s’étaient joué sur un terrain encore humide. Avril était venue finir d’achever la neige qui résistait tant bien que mal à la chaleur qui voulait s’imposer annonçant à grands cris l’arrivée de l’été et des fameux examens de fin d’années. Et par la rotation de la terre, mai avait fini par succéder à avril. Mai avait amené avec lui, les blitz de matière à apprendre et à maitriser pour les examens qui viendraient en juin. Mais juin, pour sa part, était encore loin. Loin dans le futur. Nous étions dans la seconde semaine du mois de mai. Et mai avait amené avec lui sur ces deux premières semaines un temps incertain. Certaines journées affichaient un magnifique soleil qui aurait pu éblouir les gens. D’autres affichait un ciel noir.

Quand Edena P. Miller ouvrit les yeux en ce matin tiède de mai, elle se demanda si elle avait vraiment aller à l’école. Elle avait le pressentiment que quelque chose d’immense allait se produire. Quelque chose qui par sa simple existence, bousculerait le cours de sa vie. Et l’adolescente n’était vraiment pas sûre qu’elle avait envie de voir tout changer. Il lui avait fallu beaucoup de temps pour se réhabituer au minimum à sa vie telle qu’elle était aujourd’hui. Des mois. Presque six. Depuis le début de mai, elle était fonctionnelle. Elle vivait une vie paisible en frôlant les murs du lycée dans son silence extraordinaire. Personne ne la remarquait ou presque et cela lui plaisait bien. Les gens lui cédaient des places. Enceinte de sept mois et demi, la jeune future maman vivait sa petite vie tranquille sans déranger personne. Par contre, sa capacité de concentration avait légèrement chuté tout comme ces notes. Comme tout être, elle s’était acclimatée à une situation particulière et assez douloureuse. Mais n’allez pas croire pour autant que la page était tournée sur le deuil d’Edena. Elle avait encore mal. Mal à l’absence et mal à sa solitude. Car quelqu’un dans le portrait de la vie de la jeune future maman manquait encore à l’appel. Le père. Où était le père n’est-ce pas? Edena avait appris à composer avec l’absence d’Alexander, avec sa mort à lui qui l’avait fait mourir un peu, elle. La douleur de l’absence s’éclipsait presque totalement quand le bébé bougeait dans son ventre. Cet enfant était la bouée de sauvetage de la jeune femme. Mais ce matin-là de mai, Edena aurait aimé qu’il soit présent et qu’il la pousse à se lever. Par les rideaux entrouverts de sa chambre, Edena voyait apparaitre un ciel incertain. Un ciel d’un bleu azur qui se couvrait par bout de grands nuages noirs. Non. Ce n’était pas un bon pressentiment. L’adolescente se retourna dans son lit. Si elle ne se levait simplement pas? Si elle restait ici? Avec son mauvais pressentiment que les choses allaient changer? Si…
Elizabeth R. Miller – Penny! Qu’est-ce que tu fais? Tu vas encore être en retard. Allez! Tires-toi de ton lit!
Madame Miller, matriarche de la fratrie Miller venait d’entrer en trombe dans la chambre de sa fille. Edena savait très bien qu’Elizabeth faisait cela non seulement pour le bien de sa seule fille mais aussi pour son troisième petit enfant et le seul qu’elle verrait réellement grandir. Edena protesta un moment mais finit par se lever du lit. Elle saisit les vêtements qu’elle avait sortis la veille et entra dans sa salle de bain pour prendre une douche rapide. Edena avait bien établi son rituel de douche et de bain. Elle avait besoin de sa routine à elle. Celle qui lui permettait d’être stable et équilibrée à ces yeux. Chaque matin, elle mettait la radio, l’allumait et se laissait aller. En ce matin incertain de mai, c’était du Natasha Bedingfield qui était le mix qu’elle mit sur son i-pour et l’adolescente ne put s’empêcher de pousser un peu la chansonnette sous la douche.
Edena P. Miller – I am unwritten, can't read my mind, I'm undefined.
I'm just beginning, the pen's in my hand, ending unplanned

Staring at the blank page before you
Open up the dirty window
Let the sun illuminate the words that you could not find

Reaching for something in the distance
So close you can almost taste it
Release your inhibitions
Feel the rain on your skin
No one else can feel it for you
Only you can let it in
No one else, no one else
Can speak the words on your lips
Drench yourself in words unspoken
Live your life with arms wide open
Today is where your book begins
The rest is still unwritten

Oh, oh, oh

I break tradition, sometimes my tries, are outside the lines
We've been conditioned to not make mistakes, but I can't live that way

Staring at the blank page before you
Open up the dirty window
Let the sun illuminate the words that you could not find

Reaching for something in the distance
So close you can almost taste it
Release your inhibitions
Feel the rain on your skin
No one else can feel it for you
Only you can let it in
No one else, no one else
Can speak the words on your lips
Drench yourself in words unspoken
Live your life with arms wide open
Today is where your bo…
Un cognement à la porte de sa salle de bain la fit taire brusquement. Edena n’avait pas une horrible voix. Mais n’empêche qu’elle ne chantait rarement à tue-tête et qu’elle s’était laissé emporter. La chanson unwritten aurait pu être la chanson qui la représentait le mieux. Elle était non-écrite. Comme cette journée qui s’annonçait pleine de rebondissement. Vingt minutes et un peu de crème anti-vergeture plus tard, elle sortit de la dite chambre de bain portant une paire de pantalon en jean et un chandail en cache-cœur rouge cerise. Elle prit son sac à dos. Il pleuvait dehors – eut-elle le temps de constater en descendant les marches pour se rendre au rez-de-chaussée où elle trouva sa mère en train d’attacher ses cheveux dans son habit d’infirmière. Dans la cuisine, son père et ses deux frères étaient en grande conversation sur un sujet quelconque de l’actualité politique. En passant devant le miroir, Edena ne put retenir une moue – elle avait l’air enceinte terriblement enceinte. C’est ainsi que les trois hommes s’écrièrent :
William P. Miller, Eric P. Miller et Edgar P. Miller – Non, tu n’es pas grosse, tu es ravissante.
Eric P. Miller – Pour une baleine.
Edena P. Miller - Eric, idiot!
Elizabeth R. Miller – Eric, si tu fais pleurer sa soeur, tu te trouve un nouvel appartement.
Edena entra dans la cuisine, prit un muffin encore chaud et retourna s’assoir dans le sofa du salon pour le manger tandis que son père et ses frères continuèrent leur discussion. Elle avait jugé brillant de cesser d’écouter les nouvelles et de lire les journaux voyant l’impact que cela avait sur son énergie maintenant qu’elle était enceinte. Son muffin terminé, Edena prit les clefs de sa bagnole, donne la bise à chacun de ses frères, à son père et à sa mère et fila suivit de peu par sa mère qui se lança encore dans une suite de recommandation pour la journée. La pluie avait cessé. Une parcelle de ciel bleu était bien visible. Edena s’engouffra dans sa voiture, parti son moteur et démarra vers le lycée. Elle salua Beverly dans le stationnement avant de filer dans son cours de biologie. Les cours se déroulèrent plutôt bien. Et bien assez tôt arriva le repas du midi.

L’adolescente se dirigea donc vers le self où elle acheterait son repas. Un cartable dans les mains, elle ne regardait pas au sol lorsqu’elle entra dans les escaliers. Une marche, deux marches, trois marches et pouf. Edena dégringola l’escalier en se collant la honte du siècle devant un quart du monde entier qui la regardait. Il y eu des regards inquiets en sa direction. Edena chercha la cause de sa culbute pendant un moment avant de trouver le coupable quelques marches plus hautes. Un stylo bille gisait innocemment au milieu de la marche attendant la prochaine personne à tuer dans les escaliers qui menait du premier étage au rez-de-chaussée. Edena se releva doucement.
Edena P. Miller – Ça va. Même pas mal. Y’a pas mort d’hommes! Circulez! Y’a rien à voir!
Oui, c’est souvent quand le ciel est incertain, quand l’on n’est pas sûr qu’il nous faille avancer vers l’avant nécessairement, quand une décision ne nous semble pas la meilleure à prendre et, surtout, quand l’on a peur de ce que l’avenir nous réserve qu’il ne faut pas hésiter à aller vers l’avant en suivant notre instinct. Parce que cette journée au ciel sombre pourrait être le premier jour du restant de notre vie. À la fois, la plus belle et la plus terrifiante de notre vie. Mais cette grande réflexion viendra un peu plus tard à notre jeune acrobate qui n’aurait pas dû se croire bonne au point de défier un crayon dans un escalier. La foule se dissipa lentement. Quelque curieux dont certains amis proches restèrent sur place.

Edena souffla pendant un petit moment. Debout au rez-de-chaussée. Jusqu’à ce qu’une douleur aigue lui virila le ventre. Une douleur irradiante et toute légère au début qui s’emplifia petit à petit jusqu’à lui couper totalement le souffle. Du ventre, la douleur s’étendait jusqu’au dos. Et la douleur disparue complètement sans laisser de moindre trace de son existance. Edena appuya une main sur son ventre. Des larmes avaient perlé sur le coin de ses yeux. La jeune demoiselle murmura
Edena P. Miller – Et merde!


Dernière édition par Keith A. McKay le Jeu 25 Aoû - 21:17, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:.   .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:. EmptyMer 24 Aoû - 23:48

PREUUUUUUUUUMS O/

SEXY SHEMAAAAR ♥♥♥♥
Bienvenue et bon courage pour ta fiche et j'espère qu'on trouvera un super lien car miam miam chocolat quoi :0 , ouais enfaite c'es le surnom que je donne à Shemar quand je regarde esprit criminel XD
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MessageSujet: Re: .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:.   .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:. EmptyMer 24 Aoû - 23:59

(tout le monde le surnomme miam! miam! chocolat quand on regarde Criminal Mind XD)

Merci beaucoup!
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Jayden-C. Chambers
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MessageSujet: Re: .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:.   .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:. EmptyJeu 25 Aoû - 0:00

Bienvenue & Bon courage pour ta fiche !
Par contre pour le code lis mieux le règlement. ^^
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MessageSujet: Re: .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:.   .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:. EmptyJeu 25 Aoû - 6:08

Bienvenue à Miami ! Bon courage pour ta fiche. Wink
Si tu as des questions, n'hésite pas à contacter le staff.
Décidément, ça se remplit en beaux gosses par ici.
Aussi, j'ai l'impression qu'il y a un problème dans ta signature, en tous cas chez moi, elle atterrit... avant tes messages. Très étrange.
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K. Robyn Dawkins
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MessageSujet: Re: .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:.   .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:. EmptyJeu 25 Aoû - 8:26

Morgan R. Wildmore a écrit:
Aussi, j'ai l'impression qu'il y a un problème dans ta signature, en tous cas chez moi, elle atterrit... avant tes messages. Très étrange.

Oui ca me fait pareil chez moi aussi :/
BIENVENUE à toi, très bon choix d'ava :han: Par contre il faudrait que tu changes ton prénom car il y a déjà un Cameron en scénario.
Bon courage pour ta fiche et si tu as des questions n'hésites pas ♥️
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MessageSujet: Re: .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:.   .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:. EmptyJeu 25 Aoû - 8:36

Bienvenue !

Tu doit avoir une balise d'ouverte dans les codes css c'est pour ça que ça change la signature =)
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MessageSujet: Re: .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:.   .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:. EmptyJeu 25 Aoû - 8:53

Merci à tout le monde pour cet acceuil.

Jayden -> J'ai relu le règlement et modifier

Morgan et Alexander -> J'ai modifié en fait j'avais oublier une balise en entier ce qui a bousillé mon codage. Je m'en excuse des désagréments.

Robyn -> Le nom sera alors Keith.
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MessageSujet: Re: .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:.   .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:. EmptyJeu 25 Aoû - 9:08

J'ai validé le code !
Et y a pas de problème pour la signature, c'est plus beau comme ça quand même. Wink
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MessageSujet: Re: .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:.   .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:. EmptyJeu 25 Aoû - 9:13

Heum.... Le hic de lire le code avant d'avoir pris son café XD (ou à dix heure trente). Il devrait être correcte.

Ça c'est une habitude des forum qui ne laisse l'option qu'au administrateur XD On peut me lancer des roches... je vais le prendre XD

Je sais... mais ca me gossait aussi.
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MessageSujet: Re: .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:.   .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:. EmptyJeu 25 Aoû - 9:16

Keith A. McKay a écrit:
(tout le monde le surnomme miam! miam! chocolat )

Oh yeah bin moi je dis miamiam chocolaaaaat :han:

WELCOOME :crac:
Bon courage pour ta fiche :12:
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MessageSujet: Re: .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:.   .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:. EmptyJeu 25 Aoû - 9:23

Merci beaucoup Aria.
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MessageSujet: Re: .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:.   .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:. EmptyJeu 25 Aoû - 10:36

WELCOME miamiam chocolaaaaat! :ralala:
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MessageSujet: Re: .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:.   .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:. EmptyJeu 25 Aoû - 11:05

Merci beaucoup Nola!
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MessageSujet: Re: .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:.   .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:. EmptyJeu 25 Aoû - 23:28

Les filles, c'est mon Miam Miam Chocolat Razz

Bienvenue, j'adore ta préz pour ce que j'en ai déjà lu (mais je suis sûre que le reste sera tout aussi super Very Happy )
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MessageSujet: Re: .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:.   .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:. EmptyJeu 25 Aoû - 23:33

Elle est à moi! Voui! :hahhh:

Merci beaucoup! (et tu ne viens pas de me mettre de pression)
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MessageSujet: Re: .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:.   .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:. EmptyVen 26 Aoû - 6:25

Tout est parfait je te valide ^^
Je t'invite a référencer ton avatar dans le Bottin Very Happy
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MessageSujet: Re: .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:.   .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:. EmptyVen 26 Aoû - 7:41

Merci beaucoup!
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MessageSujet: Re: .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:.   .:. Keith A. McKay :: When life don't give you enough, built it yourself .:. Empty

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