❥ SAMMY SULLIVAN

ft. Adam Brody

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Sam, 25 ans, 21 juin 1986, américain, célibataire, hétérosexuelle, The Edge of glory. Bon je ne vais pas vous mentir, je n'ai rien du beau garçon débordant de sex à pile au premier regard, pour ça il vaut mieux prendre l'exemple des sportifs de l'école. Mais je me soigne. Non plus sérieusement je suis mince, passablement musclé et encore je me demande où j'ai bien pu les trouver ceux là. Affichant un modeste 1m80, type caucasien, ma peau est assez pâle, conséquence des années passées à vivre sous le temps pluvieux du Royaume Uni. Même si je suis arrivé à Miami à l'âge de 10 ans. Mes cheveux en bataille sont d'un noir corbeau tout comme la couleur de mes yeux. D'après certaines personnes il semblerait que mon visage soit le reflet de la fourberie et du sarcasme. A vous d'en juger. Outre ceci j'ai une tête passe partout en temps normal. Niveau vestimentaire, j'aime bien m'habiller correctement, entendant par là que je porte souvent pantalon en tissu ou jean foncé surmonté d'une chemise cravate emmitouflée dans un pull sans manche ou dans un veston à carreaux. Ah la classe on l'a ou ne l'a pas hein. Bon en ce qui me concerne, j'espère l'avoir. Ça c’est Sam, dans toute sa splendeur. Déjà, n’imaginez pas que vous pouvez l’appeler Sammy parce que c’est simple, vous ne pouvez pas. Il n’aime pas son prénom entier. Il trouve ça moche, nul, le genre de prénom à coucher dehors et qui aide pas beaucoup dans la vie sociale de tous les jours. Mais ça, il ne le dira jamais à ses parents, se contentant de reprendre sa belle - mère à chaque fois qu’elle enfile ces deux fatidiques syllabes « Sa-mmy ! » - non maman c’est Sam merci bien. Râleur le mec ? Pas faux. Mais bon faut pas s’inquiéter c’est habituel. Un peu spécial, toujours drôle, il aime tout le monde ou presque. Le presque comprenant, les crétins, les enfoirés ah et Roméo aussi. Vous voulez vraiment l’énerver ? Touchez à Aria. Ca il n’aime pas. Propriété privée que ça s’appelle. C’est à lui, pas touche les prétendants qui veulent juste la mettre dans leurs lits, les petits fiancé qui lui pique sa Aria, tout ça il vire et il tape dessus. Merci bien. Un brin trop protecteur, certainement trop maladroit et borné comme pas possible, il a aussi un cœur d’artichaut. C’est là que ça coince malheureusement. Les filles ça le connait. Ils enfilent les petites amies et la malchance le poursuit toujours. Non pas elle, elle a des penchants pour la voyance à la con. AH, non pitié pas elle, elle saute sur tout ce qui bouge, elle va me tromper au bout d’une semaine. Oulà, surtout par elle, elle met ses doigts dans son nez ; celle là est cinglée, l’autre est certainement zoophile… Non décidément, en amour le pauvre Sam n’a vraiment pas de chance. Une fille normale ça ne peut pas exister par Merlin ?! En même temps c’est Sam, un brin excentrique, adorable, franc & qui se fout toujours dans les problèmes jusqu’au cou. Le pire c’est qu’il a un don inné pour se tirer des situations embarrassantes qui lui collent à la peau vu comme il est doué, un grand sourire, une petite blague et hop le paquet est envoyé. Vous avez envie de le frapper, vous gênez pas, les types sociables et mignons, ils sont bon à étrangler histoire de leur enlever leur sourire à la con du visage. Il n'y a rien au monde qui est plus important que la famille, rien. Lorsque l'on en fonde une, il faut en tous les cas assumer son rôle et le jouer du meilleur que l'on peut, en aucun cas se désister. Des instants de bonheur, de joie mais aussi des moments plus difficiles mais qu'on arrive toujours à surmonter, ensemble. C'est ça la famille. Mais c'est loin d'être le cas dans la famille Sullivan !

..oh baby i love your way..

On entendait plus que ma respiration saccadée et le bruit de mes pas qui claquaient contre le trottoir. Aujourd'hui aurait dû être la plus belle journée de ma vie, et pourtant j'avais vécu un véritable enfer. C'était le jour de mes cinq ans, le jour du décès de ma mère. Je venais de sortir de l'hôpital où le chirurgien m'avait annoncé avec un faux air de compassion, qu'il n'avait rien pu faire. Après avoir passée toute la journée à attendre, à espérer que ma mère tienne le coup, à penser que bientôt j'allais pouvoir fêter mon anniversaire le coeur léger, à croire qu'on allait tous passer à autre chose, à s'imaginer bêtement que tout irait pour le mieux, je peux vous assurez, que ce genre de phrase vous détruit le coeur. Ca a détruit le mien en tout cas, et celui de mon père aussi. Il me l'a bien fait comprendre ...

CHAPITRE 1. MADAME SULLIVAN. « Qu’est c’que tu f’ras quand tu s’ras grand ? » « Tyran ! » « Wouaw ! Tyran ! Avec tout un peuple asservit ? » « Parfaitement ! Avec un... harem, des esclaves ! J’les torturerai chaque jeudi matin... » « Coooool. » « Et toi ? » « Beeen, je... Non, c’est idiot... » « Allez, dis le ! » « Non, ça va pas t’plaire ! » « Moi j’te l’ai dit, raconte ! » « J’aimerais être un flan... un flan aux abricots... ou nature tiens, un peu tiède, dans une boulangerie... en vitrine... » « Un flan ? comme les gâteaux ? » « Ben évidemment !! Qu’est ce que tu veux que ce soit d’autre ? Y’en a pas 46 000 des flans ! » « Flan... Flan... Ah mais ouais ! Un flan ! Mais ouais, mais c’est super génial !! » JEUX D'ENFANTS..

Silence. On n'entendait que le murmure du vent tiède qui faisait danser les feuilles des saules pleureurs environnants. Bien que la température fût au-dessus de vingt-cinq degrés et que le soleil brillait de son plein gré, l'atmosphère demeurait quand même plus glaciale que jamais. Un cimetière. Beaucoup d'individus étaient rassemblés pour rendre un dernier honneur à Emilie. Emilie Sullivan, ce qui formait un curieux mélange. La foule était vêtue de noire, ce qui offrait un contraste plutôt frappant avec le ciel clair et dégagé. Ils étaient tous debout, immobiles, retenant leur souffle. Le cercueil venait tout juste de descendre sous terre et d'être enterré avec soin, ce qui rendait certains plutôt confus, comme s'ils hésitaient tous à partir ou pas. Finalement, un courageux se décida à partir, et il fût vite imité par les autres, tous la mine plus lugubre que jamais. Seule un petit garçon restait debout devant la tombe. Un petit bonhomme à la chevelure brun, âgé d'à peu près cinq ans. Il restait là, immobile. Puis un homme à l'expression anéantie s'approcha de lui. Il parla cependant d'une voix douce et rassurante.

Mr Sullivan- « Sam, viens. On rentre. »

Sam - « Non, je ne veux pas l'abandonner. »

Mr Sullivan - « J'ai dit on rentre, tout de suite. »

Silence. Cette fois, la voix de l'homme avait été beaucoup plus froide et lourde de menaces. L'enfant se tourna vers son père. Ses yeux étaient plissés dans une expression de colère et des larmes de rage coulaient le long de ses joues enfantines, brûlant son visage pâle. Comment pouvait-il laisser sa femme enterré six pieds sous terre ? Emilie était sa mère. Et jamais il n'aurait voulu la quitter, la laisser sombrer là. Il consentit tout de même à suivre son père.

Sam - « Je te hais, père. »

Ces paroles arrachèrent d'autres larmes au jeune homme et à son père. Celle-ci s'arrêta et s'accroupi aux côtés de son fils. Le coeur de celui-ci battait avec rage contre sa poitrine.

Mr Sullivanr - « On ne peut pas le faire revenir, chéri. On ne peut que surmonter cette épreuve, et continuer à vivre. Et ne jamais l'oublier.

Le gamin pleura de plus belle, mais toujours aussi silencieusement. Puis il se jeta avec force dans les bras de son père. Il haïssait sa. Il lui en voulait d'avoir monté au ciel. Jamais il ne lui pardonnerait. Jamais.

CHAPITRE 2. MONSIEUR SULLIVAN . « Mon père était un ivrogne... et un sadique ! Et, un soir alors qu’il est plus toc toc que d’habitude ; maman chope le couteau de cuisine. Il n’apprécie pas, il n’apprécie pas du tout. Ensuite... moi regardant, il lui enfonce le couteau dans un immense éclat de rire. Et il se tourne vers moi et il dit « Pourquoi cet air si sérieux ? ». Il s’approche avec sa lame. « Pourquoi cet air si sérieux ? ». Il m’enfonce la lame dans la bouche ! « Il faut mettre un petit sourire sur ce visage ! ». Et... pourquoi cet air si sérieux ? » THE DARK KINGHT

MAITRESSE - « Avez vous déjà remarqué chez votre enfant un attrait pour la mythomanie, monsieur Sullivan ? Non ? Dans ce cas là je vais devoir vous annoncer que votre fils vous a déclaré mort pour justifier l'une de ses absences ».

Plus sil grandissait, plus Sammy faisait le malin. Il avait l’habitude de contourner les règles et pour une famille avec autant de bonnes manières que les Sullivan -comprenait par la son père et sa poupée Barbie qui était nommée belle mère depuis 5 mois - , il était inconcevable de laisser continuer leur progéniture à « entacher la réputation familiale » comme ils aimaient dire.

Mr Sullivan - « SA-MMY !! You bloody idiot ! ».

Courir, fuir l'éclair de colère qui le poursuivait au travers des couloirs tantôt sinueux et tantôt spacieux de leur maison si familier. Quand il était dans cet état, il n'y avait pas moyen de le raisonner aussi avait-il préféré la fuite plutôt que l'affrontement ; solution qu'il choisissait le plus souvent. Mais on ne choisi pas sa famille, c'est un fait bien connu. Après une heure de footing intense, les deux jeunes gens se retrouvèrent au dernier étage sans autre échappatoire que la fenêtre, Sammy était pris comme un rat, haletant après cette course poursuite. Il n'avait pas d'autre choix que subir les conséquences de ses actes.

Mr Sullivan - « Alors comme ça je suis mort ? Ingrat ! ».

Monsieur Sullivan leva une nouvelle fois la main sur son fils. Il s’immobilisa. Ne broncha pas. Il savait qu’il attendait qu’il s’excuse ou autre. Il n’en serait rien. a main se rapprocha de son visage. Elle toucha sa joue d'un claquement sec.

CHAPITRE 3. LEVELYNNE ARIA BARKLEY ET PUIS PLUS RIEN. Tant bien que mal, avant j’aimais la vie, parce qu’on l’avait en commun. Avant, j’aimais la vie, même sachant tout ce que je savais, car dans l’immensité du vide, il était là qui souriait. Aujourd’hui, je chéris un fantôme, un souvenir. Seul mon esprit plein de souvenirs est encore vivace. Je préfère ressasser le bienheureux passé que de me contenter de ce présent de merde. Je n’oublierai pas ton visage, je n’oublierai jamais ta voix. Je me morfonds dans ma douleur. HELL

Il marche, il marche et il marche encore. Il laisse ses pieds la guider dans ce monde si coloré, ce monde si différent du siens. La musique lui bourdonne au creux des oreilles, elle lui rappelle son enfance, une enfance dorée loin d'être la sienne et un soupire ne peut s'empêcher de s'évader d'entre ses lèvres. Il ignore tout. Où il est, pourquoi est-il là, il en oublie même la réalité des choses. « Aria. » Le vent murmure, un sourire se dessine sur son doux visage. Aria, c'est elle, elle celle qu'il aime, c'est cette brune à l'air doux, cette petite maigrichonne qui se ballade dans ses rues vides, dans ces avenues fantômes. Une main s'empare d'elle, une autre lui agrippe avec tendresse le visage, la forçant à se retourner. Et je la vois, depuis tous ses mois loin d'elle, je peux cette fois ci la toucher, lui parlait. Les anges existent, il en a désormais la preuve. Elle est belle, ô elle est si belle. Doucement, il se penche vers elle et l'embrasse, d'un baiser vrai, passionné, comme on ne le voit que dans les films. Il l'aime, il l'aime d'un amour si vrai, si puissant. Ses doigts frêles s’entrelacent dans sa chevelure bouclé, à la couleur de l'écorce. En se reculant, il ne peut s'empêcher d'admirer son reflet, de se contempler dans ses grands yeux noisettes. Son visage respire le soleil, son teint de pêche fait ressortir ses magnifique yeux sombre. Elle est soudainement si belle, si rayonnante. « Tu es magnifique. » Délicatement, comme s'il s'agissait du plus beau trésor de ce monde, il pose sa main contre sa joue et un sourire prend place au creux des ses lèvres. L'amour, c'est si beau l'amour.

La fin d'un rêve, le début d'un cauchemar. Les mains contre le front, il inspire profondément, luttant contre l'envie d’assener un coup à ce stupide réveil et de se recoucher, laissant tomber le boulot pour ce soir. Difficilement, ses pieds se posent contre le sol et ses bras s'étirent longuement. Tout est redevenu si terne, si sombre. Tout es redevenu si réalité.

Avant elle, j’avais tout, rien ne manquait à mon bonheur si parfait. Lorsque cet amour a frappé à ma porte, j’avais été incapable de le capter, d’en prendre l’essence. Je m’étais contenté de l’aimer du mieux que je pouvais. Mais c’était loin d’être parfait. Parce que je l’aimais. Et j’avais peur, c’est ainsi qu’après une mauvaise journée où la soirée fut arrosé que j’embrassai une autre fille devant elle. Parce que je l’aimais. C’est dur à croire et pourtant … Je savais qu’elle était là seule à pouvoir me briser, me détruire. Mais c'est en la perdant elle que je me suis perdu moi. C'est quand elle s'est mise à courir pour s'éloigner de moi que j'ai compris combien je tenais à elle. C'est quand elle est partit que j'ai commencé a avoir peur. Parce que c'est en la voyant s'éloigner que mon cœur s'est brisé pour la première fois. Laissant une marque, une cicatrice, une peur de s'attacher encore. Une peur de promettre encore. Elle courrait, ses pas fracassant les marches, la porte claquant. Mon corps sans sens se leva doucement, mon regard projeté vers ce jardin où elle courrait désormais, s’échappant à vif allure, les cheveux au vent. C'est à ce moment que je décidais de partir, qu'elle s’échappe du monstre que je suis.

BEHIND THE SCREEN

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Bonjour bonjour ! J'ai découvert Miaami grâce à un petit farfadet est venu toquer à ma porte, me suppliant de lui ouvrir. Là, il me parla très longuement du pays d'où il venait, et m'exhorta violemment à sortir de mon lit bien douillet pour rejoindre un lieu nommé Miaami. C'est mon histoire, et je vous assure qu'elle est vraie. D'ailleurs je trouve que le forum est ... Je dirais juste: amen.

COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? Par une jolie admin qui en l'entendant faire son éloge je me suis dis que je devais jeter un coup d'oeil.
QUEL EST TON NIVEAU DE RP (environs) ?dur de se noter soi-même
AS-TU QUELQUE CHOSE A AJOUTER ?Oui, plusieurs.
- J'ai mis 20 ans à mettre mon avatar, enterrez-moi !
- Pourquoi est-ce que ce forum prend 20 ANS à se charger ?
-J'aimerai encore Lilye et Wendy pour les 20 ANS à venir, au moins.
-Je suis peut être un peu chiante mais adorable. (a)
QUEL EST LE CODE DU REGLEMENT ? Okp by le plus beau
AS-TU ENVOYE TON SECRET AU MAIRE ? ? Oui (:

EXEMPLE DE RP. (si vous avez pris un scénario, nous vous mettrons en situation. Ce qui veut dire que nous vous demanderons de vous mettre en situation vis à vis de votre personnage, et donc, vous devrez créer un rp concernant ce que nous vous demanderons. Une fois le rp terminé, votre fiche le sera aussi. A quoi cela sert ? Tout simplement à assurer au créateur de votre scénario que vous êtes LA bonne personne. )

A la voir ainsi, aussi belle, frêle et éthérée, l'on pouvait se demander pourquoi Mylan s'étaient demeurer infidèle envers cette magnifique blonde aux jambes interminables. Elle était bien loin pourtant des stéréotypes fades des blondes peroxydées incultes et superficielles, loin d'être inintéressante ou dépourvue de charme, loin d'être imparfaite, en somme. Néanmoins leur relation houleuse empêchait le couple d'avancer et de se poser avec sérénité, il ne se passait guère une semaine sans que les deux jeunes gens ne se disputent, finissant certes dans le même lit pour des réconciliations sauvages et passionnées, mais l'appel de la chair n'apportait pas toujours la solution. Leurs disputes avait enrayer le bon fonctionnement de leur relation. Du moins, c'est ainsi que Mylan expliqua le faite qu'il s'était retrouver dans le même lit que sa cousine.

MUSE - « Mylan, quel surprise. »
MYLAN - « A l'époque tu aimais les surprise. J'espère que c'est toujours le cas. Tu es toujours aussi sublime. »

Bien sûr qu'il pensait ce qu'il disait, diable qu'elle était sexy, habillée ainsi. Malheureusement pour Muse, Mylan avait murmuré ces dernières paroles avec froideur, d'un ton sec et claquant. Le jeune homme demeurait persuadé qu'aucun sentiment concret n'habitait Muse à son égard, alors pourquoi s'évertuer à se montrer plus gentleman si c'était pour tomber de haut par la suite ? Jamais encore, Mylan n'avait désiré s'attacher, conscient qu'aucune histoire ne lui serait profitable, que les affaires de romance n'étaient pas pour lui, que jamais une âme soeur ne viendrait à sa rencontre, après tout ne restait-il pas un héritier lubrique porté sur les conquêtes féminines et les festivités bacchanales en tout genre ? C'était néanmoins se fourvoyer amplement sur la véritable personnalité du milliardaire débauché, qui demeurait bien plus fragile qu'il ne le paraissait...

MUSE - « Heu… tu veux t’asseoir avec moi ? »

Le jeune homme hocha légèrement la tête. Attendant qu'elle passe sa commande pour la suivre jusqu'à une table, située à côté de la fenêtre, s'asseyant face à Muse. Pour autant, il tenait à la douce bien plus qu'il ne pouvait le laisser paraître, mais surtout bien plus encore qu'il ne pouvait le penser, néanmoins l'attitude de Mylan n'avait aider en rien au bon fonctionnement de leur relation. Et maintenant, il en était à tout tenté, pour la reconquérir.

MYLAN - « Alors …je…tu… c’est plutôt gênant comme situation, non ? » avant de plonger son regard abyssal dans le sien.

Esfir a écrit:

Tu as cité JEUX D'ENFANT alors je t'aime

Citation :

J'en aurais bien besoin parce qu'elle devient légèrement hystérique

Citation :

Moué tu es adorablement chieuse aussi

Citation :

Nola, je sens qu'on va se partager tout plein de douche.